jeudi 27 décembre 2012

La résolution de Daniel



Daniel 1 : 5-9 "Le roi leur assigna pour chaque jour une portion des mets de sa table et du vin dont il buvait, voulant les élever pendant trois années, au bout desquelles ils seraient au service du roi. Il y avait parmi eux, d’entre les enfants de Juda, Daniel, Hanania, Mischaël et Azaria. Le chef des eunuques leur donna des noms, à Daniel celui de Beltschatsar, à Hanania celui de Schadrac, à Mischaël celui de Méschac, et à Azaria celui d’Abed-Nego. Daniel résolut de ne pas se souiller par les mets du roi et par le vin dont le roi buvait, et il pria le chef des eunuques de ne pas l’obliger à se souiller. Dieu fit trouver à Daniel faveur et grâce devant le chef des eunuques."

À chaque début de nouvelle année, beaucoup de gens se font toutes sortes de résolutions. Malheureusement, l’homme étant ce qu’il est, ces résolutions, aussi bonnes soient-elles, ne sont souvent tenues qu’un mois ou deux, et sombrent peu à peu dans l’oubli.

Mais prenons exemple sur Daniel! La meilleure résolution que chacun de nous pourrions prendre en cette nouvelle année qui vient est de ne pas nous souiller avec ce que l’ennemi a à nous offrir. Gardons à l’esprit que les joies du péché sont de courtes durées, et que l’ennemi en cache toujours le coût réel, aussi, soyons entièrement consacrés à Christ! Il eût été facile pour Daniel et ses compagnons de succomber aux tentations que leur offrait le roi de Babylone, mais il tint ferme dans sa foi ancrée en l’Éternel Dieu. De la même façon que Dieu fit trouver grâce à Daniel aux yeux du chef des eunuques, il nous donnera de rester sous Sa grâce en tout lieu et en tout temps, de sorte que nous pourrons résister au mal, sous toutes ses formes, et nous serons à même de rester dans la sainteté jusqu’au bout.

Agissons comme l’apôtre Paul; revêtons-nous du Seigneur Jésus-Christ, et n’ayons pas soin de satisfaire notre chair avec toutes ses convoitises. Avec Christ, revêtons-nous des pièces de son armure que sont la vérité, la justice, le zèle, la foi, et l’espérance du salut. Comme arme, saisons-nous de l’Esprit de la Parole de Dieu. Ne tournons jamais le dos à satan, mais allons toujours de l’avant dans la bataille! Par-dessus tout cela, persévérons dans la prière et les supplications, car nous savons que seuls, nous sommes sans force! Le Seigneur est notre force!

Il est écrit en Esaïe 26 : 3 qu’à ceux qui sont fermes dans leurs sentiments, Dieu assure la paix, parce qu’ils se confient en Lui.  

Demeurons donc fermes dans les choses saintes, ne craignons pas de mortifier les désirs de notre chair qui font la guerre à l’âme; Jésus lui-même sera avec nous dans nos combats et nous tiendrons notre résolution jusqu’à la fin et nous resterons dans la paix et la joie du Seigneur, pour aujourd’hui et pour l’éternité, Amen.

jeudi 20 décembre 2012

Jésus notre Seigneur et Sauveur - Je crois en Toi

Noël. La naissance d’un sauveur. La vie d’un sauveur. La mort d’un sauveur. La résurrection d’un sauveur. Par Jésus, de morts au péché que nous étions, nous avons retrouvé la vie, et la vie en abondance. Bien entendu, cela est pour nous un sujet de très grande joie! Seulement voilà, le royaume de Dieu, c’est aussi de penser aux autres. Et lorsque nous voyons nos frères et nos sœurs qui n’ont pas encore accepté Christ comme leur Seigneur et Sauveur personnel, la tristesse nous envahit, et nous ne pouvons faire autrement que de redoubler d’ardeur dans nos prières, car nous les aimons, et comme nous voudrions qu’aucun d’eux ne se perde!

Il est écrit dans ta Parole, Seigneur, que nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie parce que nous aimons nos frères. Seigneur Jésus ne permet jamais que nous nous contentions de t’avoir connu, sans nous soucier de te faire aussi connaître à nos frères et sœurs. Cette fête de Noël est un autre moment dans l’année où nous devons témoigner de l’immense amour que tu as eu, et que tu as encore pour la race humaine. Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis. Ce sont tes propres paroles, Seigneur, et c’est ainsi que nous voulons vivre. Aide-nous à être un exemple parfait, en toute notre conduite, et aussi, à maîtriser nos langues, que chacune de nos paroles te rendent gloire.

Jésus ressuscité, puisque tu es vivant, je peux compter sur mon Dieu! Seigneur, je crois de plus en plus en tes promesses, car elles sont vraies et elles sont mon espoir et ma force; elles me relèvent lorsque le courage me manque. Et lorsque je me sens fatigué, tu es là au cœur de la vie que tu me prêtes, tu gardes ma respiration afin que je possède l’assurance que je ne suis jamais seul, mais j’ai un ami fidèle qui se tient près de moi. Ô Jésus ressuscité, comme je crois que tu viens à mon aide en tout temps! Merci Seigneur, merci Jésus; comme ta présence me réconforte! Béni soit le nom de mon Sauveur, car sans lui, je serais perdu dans le temps, à chercher un appui. Gloire au grand Roi, car Il est juste et fidèle, il est mon Dieu, mon Sauveur.

Seigneur Jésus-Christ, je veux te demander une faveur; regarde mes proches, il en est qui ne te connaissent pas encore. Jésus, je vais te laisser passer devant moi afin que tu puisses accomplir ces miracles, car seul Dieu peut vaincre, et seul le Saint-Esprit convainc de péché; pour moi, tout est impossible. Merci Seigneur Jésus-Christ d’être le chemin, c’est en toi Jésus, que je place toute ma confiance. Ma requête est vue de toi. Et avec confiance, je peux aller en paix, car je sais qu’elle ne sera pas perdue. Mais Seigneur Jésus, en rien, pour rien au monde je ne veux douter de ta puissance, je crois que les paroles qui sortent de ma bouche lorsque je témoigne de toi sont recouvertes de ta puissance, si ma certitude est inébranlable et que je persiste à croire que tu es fidèle à accomplir l’enseignement que tu nous as laissé.

Merci Jésus de me donner ta paix, elle est mon repos et elle me relève lorsque je suis fatigué. Merci Jésus, car malgré tout ce que je ne peux pas changer dans ma vie, ta joie demeure en moi, car ta joie ne dépend pas des conditions extérieures où je vis. Merci Seigneur qu’il en soit ainsi! Ô Dieu, maître de toutes situations, ta Parole me réconforte et nourrit mon âme, elle est mon repos. Jésus, je crois plus que jamais que tu donnes la vie à celui ou celle qui la demande pour ses bien-aimés. Seigneur Jésus-Christ, je compte sur toi, et je ne serais pas déçu, car la déception ne vient pas de Dieu, mais plutôt de ma volonté. Aide-moi Jésus, à accepter ton heure, afin que je vive ta volonté, dans la fidélité et une docilité parfaite, comme tu t’es soumis au Père, notre Dieu à qui nous rendons honneur, louange et haute gloire pour les âges passées, présentes et à venir. Amen et Amen. Merci mon Seigneur et mon Dieu, merci Esprit de sagesse, merci Jésus, merci!

vendredi 14 décembre 2012

La soumission à la volonté de Dieu


Colossiens 4:12  Épaphras, qui est des vôtres, vous salue: serviteur de Jésus-Christ, il ne cesse de combattre pour vous dans ses prières, afin que, parfaits et pleinement persuadés, vous persistiez dans une entière soumission à la volonté de Dieu.

La persévérance dans soumission à la volonté de Dieu n’est pas une option. Nous devons obligatoirement vivre dans ce total abandon de soi, sous quelques aspects que ce soit de notre vie, car nous savons que nous ne nous appartenons pas. Nous ne sommes pas sur terre pour notre gloire personnelle, mais pour que toute la gloire revienne à Dieu seul. Cela est très difficile, car notre nature humaine nous pousse toujours dans le sens contraire. C’est pourquoi, par la prière, nous ne nous lassons pas de nous approcher jour après jour de notre Maître, le Seigneur Jésus, afin qu’il nous accorde son aide à nous, pauvres pécheurs, et qu’il nous donne la capacité de marcher dans ses traces, de porter notre croix et de le suivre, en tout lieu et en tout temps, et que nous puissions encore dire avec Lui, dans la prière du Notre Père; que ta volonté, Père, soit faite sur la terre comme au ciel. Oui, persévérons en Christ, et que ses commandements soient notre délice!
Prions.

Béni soit le nom de mon Dieu, car Il est unique à travers les temps et les âges; tous sont conduits à l’éternité des temps sans fin.

Seigneur Jésus-Christ, je veux me soumettre complètement à ta Parole, car elle est vie, et vie en abondance. Oh comme je veux en ce jour que tu me transformes par tes grands pouvoirs de te soumettre toutes choses. Dirige-moi, guide-moi, éclaire-moi, brise ce voile qui masque devant moi la vérité, car je veux la connaître et vivre par elle seule. Je veux devenir un esclave de la justice, non plus être esclave de moi-même! Aide-moi Jésus, car sans mon Dieu, tout m’est impossible.

Seigneur Jésus-Christ, étends sur moi ta protection, et accorde-moi ton pardon. Je veux t’aimer au-dessus de toutes choses, je veux t’appartenir, saisis-moi! Saisis ton bien, tu m’as payé au prix de ton sang, je ne m’appartiens donc pas. C’est à toi que j’appartiens, Jésus. La réconciliation avec Dieu m’est venue de Jérusalem, cette Jérusalem céleste qui descend d’auprès de Dieu pour unir à sa noce l’époux et l’épouse et l’Esprit dit : Viens Seigneur Jésus-Christ, viens. Et moi aussi, je le dis : viens en moi Seigneur Jésus-Christ, afin que je sois un enfant de Dieu selon son plan et pour lui rendre gloire. Amen.
À Dieu notre Père, par Jésus-Christ notre Seigneur en présence du Saint-Esprit; la gloire des âges et des temps lui est rendue, Amen.
Oui, béni moi, Jésus, bien que je ne mérite rien!

jeudi 6 décembre 2012

Le coeur éloigné de Dieu



Esaïe 29 :13 « Le Seigneur dit: Quand ce peuple s’approche de moi, il m’honore de la bouche et des lèvres; mais son cœur est éloigné de moi, et la crainte qu’il a de moi n’est qu’un précepte de tradition humaine. »

Trop souvent, pour diverses raisons, nous laissons notre cœur être entrainé loin de Dieu. Parfois, nous nous en rendons compte nous-mêmes, et à ce moment-là, nous ressentons une tristesse énorme nous envahir, et nous nous empressons de demander pardon au Seigneur pour notre égarement. Cependant, il arrive que Dieu suscite quelqu’un d’autre pour nous montrer que nous ne le suivons plus aussi fidèlement qu’au commencement, et alors, nous avons à être assez humble pour reconnaître notre condition, et revenir au Seigneur, repentant, avant qu’il ne soit trop tard. Les préceptes de traditions humaines ne sauvent pas, et n’oublions jamais qu’il n’existe pas de pire condition que celui qui pense être sur le droit chemin, honorant le Seigneur de la bouche et des lèvres seulement, mais ne possédant pas le don de la foi. Ici sont les paroles du Seigneur Jésus lui-même : « Ceux qui me disent: Seigneur, Seigneur! n’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. »

Prions.

Je viens, Jésus, je reviens, Seigneur Jésus-Christ, je veux revenir à toi. Jésus, regarde-moi, prends ma main, et aide-moi à revenir, car le temps est lourd et suffocant. Seigneur Jésus-Christ, aide-moi à revenir à mon Dieu, mon Sauveur. Mon Dieu, mon Père, ait pitié de moi. Mon Dieu, je reviens à la maison; j’ai regardé, et j’ai vu l’orage, et j’ai aussi entendu la tempête qui s’avance.

Ô Dieu de mes pères Abraham, Isaac et Jacob, je te supplie, exauce ma plainte, elle est devant toi en une supplication repentante. Je crie vers Toi, je fais appel à ton Saint Nom, sèche mes larmes, elles ont creusé des sillons sur mes joues, ne les laisse pas tarir d’elles-mêmes. Seigneur Jésus-Christ, aide-moi, puisque tu conduis ma supplication devant le Père du ciel et de la terre. Seigneur Jésus, mon Dieu, merci d’avoir pitié de ma misère! Merci Ô Dieu Puissant, merci Jésus de Nazareth, merci précieux Saint-Esprit. Merci Ô Dieu vivant, juste et vrai, tu m’as réconforté, tu m’as fait du bien! Merci Père, Fils et Saint-Esprit, Amen et Amen.

mercredi 28 novembre 2012

Est-ce que le diable te connaît?




Actes 19 : 13-16  Quelques exorcistes juifs ambulants essayèrent d’invoquer sur ceux qui avaient des esprits malins le nom du Seigneur Jésus, en disant: Je vous conjure par Jésus que Paul prêche! Ceux qui faisaient cela étaient sept fils de Scéva, Juif, l’un des principaux sacrificateurs. L’esprit malin leur répondit : Je connais Jésus, et je sais qui est Paul, mais vous, qui êtes-vous? Et l’homme dans lequel était l’esprit malin s’élança sur eux, se rendit maître de tous deux, et les maltraita de telle sorte qu’ils s’enfuirent de cette maison nus et blessés.

Ce n’est pas une bonne nouvelle lorsque le diable ne nous connaît pas, parce que cela signifie que nous ne sommes pas une menace pour son royaume de ténèbres. Nous lisons dans le livre de Job une discussion entre l’Éternel Dieu et le diable concernant Job. L’Éternel demanda à satan s’il avait remarqué Son serviteur Job, et l’ennemi ne répondit pas par la négative. Car il connaissait très bien Job, il savait qu’il était un homme intègre et qu’il vivait dans la droiture, car, il demeurait ferme en l’Éternel. Mais les fils de Scéva n’étaient pas comme Job, ils vivaient dans le péché, de sorte qu’ils n’avaient aucune autorité contre les esprits mauvais. Nous savons que l’esprit de Dieu n’habite pas en ceux qui vivent selon la chair. Les fils de Scéva savaient très bien qu’ils ne possédaient pas l’Esprit de Dieu, c’est pourquoi ils invoquèrent le Jésus que Paul prêchait. Mais cela n’était d’aucune efficacité, car la Parole doit d’abord et avant tout faire son œuvre rédemptrice et salvatrice en nous.

Que cette mésaventure nous serve de leçon dans notre vie; nous ne pourrons jamais utiliser le nom du Seigneur Jésus à des fins personnelles, ni être sauvés par le simple fait d’invoquer le nom de Jésus qu’un tel prêche. Jésus doit réellement habiter en nous. Il faut également plus que les paroles d’une profession de foi pour entrer dans le royaume des cieux. Les paroles ne valent rien, il faut la foi, la foi qui sauve. Laissons le Seigneur, par son Saint-Esprit, diriger chacune des facettes de nos vies, et ne nous réservons rien pour nous. Car soit nous nous appartenons, ou soit nous appartenons à Christ. Lorsque notre nature humaine est morte avec Christ à la croix, alors certainement, le diable nous connaît, car nous sommes devenus des soldats de Dieu purifiés et sanctifiés, et le diable nous traite désormais comme des déserteurs, nous combattant de toutes ses forces. Mais qu’importe, gloire à Dieu, nous savons que nous sommes des déserteurs! Nous avons quitté notre ancienne vie de péché, nous avons déserté le camp démoniaque, afin de nous attacher à Christ. Nous savons très bien d’où nous avons été tirés, par la grâce de Dieu, et pour rien au monde, nous retournerions dans notre ancienne vie de péché! Quand bien même l’ennemi enverrait contre nous ses multitudes, nous lui résisterons avec une foi ferme, et il fuira loin de nous. Gloire à Dieu! Que notre Seigneur soit béni!