mercredi 28 novembre 2012

Est-ce que le diable te connaît?




Actes 19 : 13-16  Quelques exorcistes juifs ambulants essayèrent d’invoquer sur ceux qui avaient des esprits malins le nom du Seigneur Jésus, en disant: Je vous conjure par Jésus que Paul prêche! Ceux qui faisaient cela étaient sept fils de Scéva, Juif, l’un des principaux sacrificateurs. L’esprit malin leur répondit : Je connais Jésus, et je sais qui est Paul, mais vous, qui êtes-vous? Et l’homme dans lequel était l’esprit malin s’élança sur eux, se rendit maître de tous deux, et les maltraita de telle sorte qu’ils s’enfuirent de cette maison nus et blessés.

Ce n’est pas une bonne nouvelle lorsque le diable ne nous connaît pas, parce que cela signifie que nous ne sommes pas une menace pour son royaume de ténèbres. Nous lisons dans le livre de Job une discussion entre l’Éternel Dieu et le diable concernant Job. L’Éternel demanda à satan s’il avait remarqué Son serviteur Job, et l’ennemi ne répondit pas par la négative. Car il connaissait très bien Job, il savait qu’il était un homme intègre et qu’il vivait dans la droiture, car, il demeurait ferme en l’Éternel. Mais les fils de Scéva n’étaient pas comme Job, ils vivaient dans le péché, de sorte qu’ils n’avaient aucune autorité contre les esprits mauvais. Nous savons que l’esprit de Dieu n’habite pas en ceux qui vivent selon la chair. Les fils de Scéva savaient très bien qu’ils ne possédaient pas l’Esprit de Dieu, c’est pourquoi ils invoquèrent le Jésus que Paul prêchait. Mais cela n’était d’aucune efficacité, car la Parole doit d’abord et avant tout faire son œuvre rédemptrice et salvatrice en nous.

Que cette mésaventure nous serve de leçon dans notre vie; nous ne pourrons jamais utiliser le nom du Seigneur Jésus à des fins personnelles, ni être sauvés par le simple fait d’invoquer le nom de Jésus qu’un tel prêche. Jésus doit réellement habiter en nous. Il faut également plus que les paroles d’une profession de foi pour entrer dans le royaume des cieux. Les paroles ne valent rien, il faut la foi, la foi qui sauve. Laissons le Seigneur, par son Saint-Esprit, diriger chacune des facettes de nos vies, et ne nous réservons rien pour nous. Car soit nous nous appartenons, ou soit nous appartenons à Christ. Lorsque notre nature humaine est morte avec Christ à la croix, alors certainement, le diable nous connaît, car nous sommes devenus des soldats de Dieu purifiés et sanctifiés, et le diable nous traite désormais comme des déserteurs, nous combattant de toutes ses forces. Mais qu’importe, gloire à Dieu, nous savons que nous sommes des déserteurs! Nous avons quitté notre ancienne vie de péché, nous avons déserté le camp démoniaque, afin de nous attacher à Christ. Nous savons très bien d’où nous avons été tirés, par la grâce de Dieu, et pour rien au monde, nous retournerions dans notre ancienne vie de péché! Quand bien même l’ennemi enverrait contre nous ses multitudes, nous lui résisterons avec une foi ferme, et il fuira loin de nous. Gloire à Dieu! Que notre Seigneur soit béni!

jeudi 22 novembre 2012

Jésus est allé me préparer une place auprès du Père


Jean 14:2-4 "Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n’était pas, je vous l’aurais dit. Je vais vous préparer une place. Et, lorsque je m’en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi. Vous savez où je vais, et vous en savez le chemin."

Persévérons dans la justice! Persévérons dans la droiture! Nous qui aimons l’Éternel, haïssons le mal, fuyons-le, et surtout, persévérons en Christ jusqu’à la fin, et cette merveilleuse promesse sera pour nous! Gloire à Dieu!


Mon Seigneur et mon Dieu, je crois en Jésus-Christ mon Sauveur et Seigneur personnel. Je crois Jésus, que tu es vivant. Je crois Seigneur Jésus-Christ, que tu sauves parfaitement ceux qui s’approchent de toi avec confiance. En ce jour Seigneur, je viens devant toi avec une pleine confiance que tout mon passé est pardonné. Ta miséricorde me recouvre et me protège. Merci Jésus, que je puisse compter sur toi pour être pardonné de tout mon passé. Merci Jésus, de m’avoir réconcilié avec le Père, le Dieu du ciel et de la terre; Dieu Père des sauvés par le sang de Jésus-Christ mon Sauveur. Je crois Seigneur Jésus en ta bonté. Tu es venu sur terre, me laisser la volonté de Dieu, celle que je dois vivre. Merci Seigneur Jésus de me préparer une place dans le monde de la splendeur où la gloire est éternelle. Béni soit le Nom du grand Roi Jésus-Christ, maître absolu de la vie et de la mort. Merci Jésus de Nazareth! Aujourd’hui, je m’approche de mon Sauveur avec une pleine assurance que je suis enfant de Dieu, lavé et purifié dans le sang de Jésus-Christ. Jésus, mon espoir est tourné vers toi, et je ne serai pas déçu, car tu es vivant! Seigneur Jésus, Fils du Dieu immortel qui fit briller les lumières dans le monde céleste où la gloire ne finit jamais! Merci Jésus d’être vivant et de me préparer afin que, lorsque tu m’appelleras, je puisse entendre ta voix, la voix de mon Maître, mon Berger. Mon Dieu, que le nom de mon Jésus soit béni! Mon âme chante la gloire de Dieu qui est pour toujours dans la splendeur éternelle, Amen et Amen!

jeudi 15 novembre 2012

L’Éternel rassasie notre âme dans les lieux arides



Esaïe 58 : 11 : "L’Eternel sera toujours ton guide, Il rassasiera ton âme dans les lieux arides, et il redonnera de la vigueur à tes membres; tu seras comme un jardin arrosé, comme une source dont les eaux ne tarissent pas."

Ce sont là des paroles qui redonnent courage et force à ceux qui traversent la vallée de Baca. Cependant, lorsque nous traversons ces lieux arides, il est une tentation qui plane sur chacun de nous : nous sommes portés à nous apitoyer sur notre sort, et à oublier le malheur de nos frères et sœurs de par le monde, qui passent par les mêmes afflictions que nous.

Lorsque nous lisons les versets précédents le verset 11 d’Ésaïe 58, nous découvrons comment l’Éternel rassasie notre âme au milieu même des lieux arides, et comment nous pouvons nous emparer de ses bénédictions : lorsque nous partageons notre pain avec ceux qui ont faim, et que nous nous préoccupons du sort de notre prochain, cela plait à Dieu, et il est écrit en Esaïe 58 : 8 : "Alors ta lumière poindra comme l’aurore, et ta guérison germera promptement; ta justice marchera devant toi, et la gloire de l’Eternel t’accompagnera."

Gloire à Dieu! Au milieu des lieux arides, soyons reconnaissants pour les bénédictions déjà reçues et ne perdons pas de vue celle que Dieu a en réserve pour ceux qui obéissent à ses commandements. Et si nous ne traversons pas en ce moment la vallée de Baca, et que tout va pour le mieux; à bien plus forte raison devons-nous, avec l’aide de Dieu, combattre cet égoïsme qui nous pousse à nous faire rechercher que notre bien-être personnel, sans nous soucier du malheur des autres.

Souvenons-nous de la veuve de Sarepta, qui, avec son fils, traversait sa propre vallée de Baca. Elle accepta de nourrir le prophète Élie avec le peu de farine et d’huile qui lui restait, malgré que ce fût là le dernier repas qu’elle ait pu partager avec son fils. Elle obéit à la parole du prophète, qui lui dit : Ne crains pas! Et la farine ne lui manqua pas, et l’huile qui était dans la cruche ne diminua pas, comme l’avait promis l’Éternel Dieu!  N’oublions jamais l’exemple de notre Maître Jésus, qui est allé jusqu’à donner sa vie pour que ceux qui l’accepteraient soient sauvés. De grandes bénédictions attendent ceux qui, pour la gloire de Dieu, viennent en aide à leur prochain. Aimons-nous les uns les autres, et prions les uns pour les autres! Soyons toujours reconnaissants pour tous les bienfaits que notre Seigneur nous a accordés, et nous accorde encore aujourd’hui.

Donc, quelque soit la façon dont l’ennemi nous attaque, ne nous tourmentons pas inutilement, mais déchargeons-nous de tous nos fardeaux aux pieds du Seigneur, et Il nous donnera la capacité non seulement de traverser victorieusement la vallée de Baca, mais il nous donnera également d’aider nos prochains qui passent par les mêmes souffrances que nous à porter leur charge. Une pluie de consolation et de bénédiction attend ceux qui se confient en Dieu, en toutes choses, et par son Saint-Esprit, les sources de la vie rassasieront notre âme au milieu même des lieux les plus arides, car nous ne serons pas dépendants de nos circonstances, mais de Dieu seul! Amen!

Seigneur Jésus-Christ, c’est avec un cœur contrit et rempli que reconnaissance que je te rends l’honneur, la louange et la gloire qui te revient, car je sais et je crois que tu protèges ma foi, malgré les tourments. Merci Seigneur Jésus-Christ, de cette protection que tu m’accordes, de veiller sur moi, de toujours me regarder. Seigneur Jésus, je te remercie pour tout ce que tu as fais pour moi par ta mort et ta résurrection. Merci Seigneur Jésus d’avoir accompli ta promesse de l’envoi du Saint-Esprit. Merci Père, de cette aide que tu m’apportes par ton Saint-Esprit, et comme je désire, Seigneur, qu’il me fasse connaître davantage la vérité révélée dans la Bible. Merci Jésus, d’ouvrir mon intelligence à la connaissance, à ta connaissance. Merci Seigneur Jésus-Christ, Fils du Dieu vivant, d’avoir rempli l’univers de la gloire de Dieu! Cette Gloire consiste pour moi à te connaître et à connaître le seul Dieu véritable. Merci Jésus, de nous avoir promis le consolateur, le Saint-Esprit qui, au milieu de notre vallée de Baca, ne cesse jamais de nous accorder les bénédictions dont nous avons besoin, car nous ne nous soucions pas seulement de nous-mêmes, mais nous prions sans cesse pour nos frères et sœurs qui passent par les mêmes souffrances que nous partout sur la terre. Merci Jésus, merci Père pour ce Saint-Esprit qui nous apporte ce qui vient de toi, et ce qui vient de toi, c’est également l’exemple que tu nous as laissé, et les traces que nous pouvons voir, afin que nous les suivions et que nous imitions en tout notre Seigneur et Maître. Merci Seigneur Jésus-Christ de veiller sur moi et sur tous ceux qui croient, et merci pour le courage que tu renouvelles en moi. Merci mon Dieu, pour ces sources d’eau vives qui rassasient mon âme au milieu des lieux les plus arides. Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit, Amen.

vendredi 9 novembre 2012

En quelques mots... La vallée de Baca



Psaumes 84 :6-8 "Heureux ceux qui placent en toi leur appui! Ils trouvent dans leur cœur des chemins tout tracés. Lorsqu’ils traversent la vallée de Baca, ils la transforment en un lieu plein de sources, et la pluie la couvre aussi de bénédictions. Leur force augmente pendant la marche, et ils se présentent devant Dieu à Sion."

Dieu ne nous a jamais promis une marche facile avec Lui. Par ces versets, nous savons que nous aurons à traverser une vallée de Baca au cours de notre pèlerinage sur cette terre. Mais ces versets, loin de nous accabler, nous encouragent, car nous savons également que Dieu ne nous abandonnera pas! Certes, les épreuves et les tribulations viendront, mais Dieu restera à nos côtés, et même si parfois, nous avons l’impression qu’Il nous a abandonné, ne doutons jamais de sa présence, car Il est là. 

Ce n’est pas sans raison qu’il est écrit : "leur force augmente pendant la marche." Mais comment cela peut-il se faire? Comment pouvons-nous être fortifiés en traversant la vallée des larmes et des tribulations? Les bénédictions que Dieu fait pleuvoir sur ceux qui lui obéissent leur donnent la force et le courage de continuer d’avancer sur le chemin étroit et difficile. Gloire à Dieu! Merci Seigneur! Persévérons dans l’intégrité, car Dieu ne nous refusera aucun bien! Évidemment, nous ne parlons pas ici de biens terrestres, car que valent-elles, comparées à la joie que nous aurons lorsque, devant le trône de Dieu, nous contemplerons sa gloire en face?

Ô, que le Seigneur fasse que nous gardions en tout temps les yeux fixés sur Lui, car c’est par Lui que nous existons, et c’est encore par Lui que nous sommes bénis au-delà de tout ce que nous pouvons espérer. Amen.