vendredi 28 septembre 2012

Le désir de remercier Jésus



Nous désirons remercier Jésus à cause de tous les bienfaits qu’il nous accorde. Nous voulons également le louer pour sa grandeur, pour son œuvre de délivrance qu’Il est venu accomplir parmi nous. Cette œuvre a connu son point culminant sur le mont du Calvaire, alors qu’Il a payé de sa vie nos péchés qu’Il portait, et avec sa résurrection, nous sommes aussi régénérés et pouvons nous revêtir des habits blancs. Depuis qu’Il est retourné près du Père, Il nous a envoyé le Consolateur, le Saint-Esprit, qui nous conduit sur le sentier de la justice, et Il met en lumière les œuvres des ténèbres, afin que nous ne les pratiquions pas. Gloire à Dieu!

Seigneur Jésus-Christ, je suis devant Toi aujourd’hui, et comme mon désir est grand de te remercier, de rendre gloire à ton Nom, car il est juste de te rendre haute gloire pour cette joie et cette paix que Tu m’accordes. Que ta grâce dans mon cœur continue de faire ce travail de libération et de délivrance, qui était impossible pour moi. Tant que je serai dans ce corps de chair, j’aurai toujours besoin de Toi, Jésus, à mes côtés, afin de me dépouiller de la nature humaine, cette nature pécheresse qui m’empêche d’être en pleine communion avec Toi. Ô Merci Jésus, car Tu es avec moi le jour et la nuit, et Tu me gardes à respirer. Je te prie que chacune de ces respirations te rende honneur et louange.

Merci Seigneur Jésus-Christ de me connaître, quel bien pour moi, quel trésor! Rien sur cette terre ne peut te ressembler. Merci Jésus, car Tu es mon défenseur et mon berger, Pasteur fidèle qui ne fuit pas devant le danger. Tu ne m’abandonnes pas quand l’ennemi de mon salut se présente, mais au contraire, Tu te places devant moi, et Tu me fais connaître ses manœuvres hypocrites et mensongères. Tu détruis l’œuvre de satan, ce ténébreux père de l’hypocrisie et du mensonge. Satan, le Seigneur Jésus-Christ te réprime, afin que je reste sur le sentier de la gloire éternelle!

Voilà Jésus mon Dieu, ce que tu fais pour moi. Merci Dieu mon Père, merci Seigneur Jésus-Christ mon Sauveur, merci Jésus, car d’être ma force et de renouveler mon courage. Merci Jésus d’être le défenseur de la liberté que tu m’as acquise lorsque tu étais ici sur terre. Merci Jésus, de me garder enfant de Dieu en dépit des attaques du mauvais. Quel bonheur pour moi; de ta présence et de ton amour. Merci Jésus de ta fidélité à accomplir tes promesses, afin que je vive en présence en ta présence éternelle, face à face avec mon Dieu en qui je crois et espère. Merci Jésus de Nazareth, de toutes ces guérisons corporelles, mais surtout spirituelles, que tu accomplis encore aujourd’hui. Merci, car tu sauves parfaitement ceux qui font appel à ton Nom et à tous ceux qui te cherchent. Voilà qui tu sauves! Merci Ô Dieu Père de Jésus-Christ, d’être en Jésus, et que le Fils soit dans le Père. Merci Jésus-Christ, merci Ô Dieu forteresse vivante, merci précieux Saint-Esprit, de vivre pour toujours et de toujours avoir été, Amen et Amen!

vendredi 21 septembre 2012

La maîtrise de soi



On la voit, on sait où elle est, mais ce qui est le plus difficile, c’est de la saisir. Ça ne nous intéresse pas vraiment de la saisir. Ce n’est pas plaisant pour notre nature humaine. Mais sans maîtrise de soi, il n’y a rien. Sans maîtrise de soi, nous sommes libres à toutes espèces de mal. La maîtrise de soi, c’est la clé de la porte, et si je refuse de saisir cette clé, la porte ne pourra jamais être ouverte devant le Seigneur Jésus-Christ. Et elle ne s’ouvrira jamais d’elle-même! Ouvrir la porte à Christ, c’est accepter de vivre la volonté de Dieu, et non plus la nôtre. Mais comment pourrions-nous vivre la volonté d’un autre, sans maîtrise de soi? L’apôtre Paul dira aux Galates que les désirs de notre chair sont totalement opposés à ceux de l’Esprit de Dieu, de sorte que si nous sommes enfants de Dieu, nous ne pouvons plus faire ce que nous voulons, comme nous le faisions avant d’accepter Christ. Et, nous ne pouvons pas marcher avec Christ par obligation, alors nous devons absolument trouver cette maîtrise de soi. Car Dieu nous laisse libre, libre de nous maîtriser ou pas. Avec la maîtrise de soi, je pourrai acquérir et conserver le zèle pour vivre selon la volonté de Dieu. Les prophètes et les apôtres nous ont montré ce que c’est, la maîtrise de soi. Ils étaient prêts à sacrifier leur vie pour Dieu. Nous l’avons vu précédemment, sans maîtrise de soi, nous n’avons rien. Et si nous avions acquis quelques richesses spirituelles, nous allons les perdre si nous cessons de nous maîtriser. L’apôtre Paul dira en Philippiens 4 : 12 : "Je sais vivre dans l’humiliation, et je sais vivre dans l’abondance. En tout et partout j’ai appris à être rassasié et à avoir faim, à être dans l’abondance et à être dans la disette." Il en faut, de la maîtrise de soi, pour vivre dans un tel contentement! Il dira ensuite au verset 13 : "Je puis tout par celui qui me fortifie." Cela prouve que nous ne nous maîtrisons pas pour nous transformer nous-mêmes. Non, mais plutôt pour que Christ nous transforme!

Quelques pensées sur la maîtrise de soi.

La maîtrise de soi, c’est une obligation que l’on s’impose. Exemple : À partir d’aujourd’hui, je fais le bien que je dois faire, et je ne fais pas le mal que la Bible m’interdit de faire. Et oui, jour après jour, je vais lire ma Bible, je vais m’approcher de Dieu, par Jésus-Christ, dans la prière, aussi souvent qu’il me sera possible de le faire. Ceci est une sévère discipline que nous nous imposons, un engagement sérieux que l’on met en pratique tous les jours qu’il nous sera donné de respirer.

La maîtrise de soi, c’est le fondement d’une bonne conduite. Et la maîtrise de soi qui avance en âge produit des fruits pour autrui. Mais celui qui ne possède pas la maîtrise de soi est libre à tous les caprices du vent et des changements de température. Il se soumettra facilement au monde, parce que ce que le monde aura à lui proposer sera plus facile à accepter- pour sa nature humaine - que de renoncer à lui-même pour servir Christ! Comprenons que la maîtrise de soi, c’est le renoncement à ce que l’on peut toucher et voir. Car nous marchons par la foi, et non par la vue, dira l’Apôtre Paul en 2 Corinthiens 5 : 7.

La maîtrise de soi, c’est la perte de ses propres désirs, et le contrôle total de ses pensées. Lors de son sermon sur la montagne, le Seigneur Jésus nous montrera toute l’importance de maîtriser nos pensées, car les mauvaises pensées sont déjà péché devant Dieu. Souvenons-nous de ce que le Seigneur disait, à savoir que l’homme qui regarde une femme pour la convoiter a déjà commis l’adultère avec elle dans son cœur! Quelle importance de la maîtrise de soi, donc, afin de couper ces mauvaises pensées à la racine, avant qu’elles ne nous conduisent à pécher devant la face du Seigneur!

La maîtrise de soi, c’est également d’ouvrir ses yeux sur le monde. Voyons ceux qui ont fait, et qui font le bien, et imitons-les! Voyons également ceux qui font le mal, et rejetons leurs actions!

La maîtrise de soi, c’est de fermer les yeux sur sa propre personne. C’est, en somme, un déficit sur sa propre vie, car elle guide sur un seul et unique objectif à poursuivre : Jésus-Christ.  Mais ceux et celles qui ne la possèdent pas ont la vue si courte; ils se dérobent facilement à tout engagement d’une vie juste. Ils sont à la poursuite de la tempête, ils la dépassent, ils s’essoufflent. Ils ne seront pas épargnés par l’orage.

La maîtrise de soi poussera l’homme à chercher l’abondance d’une joie collective. Comprenons ici; le véritable enfant de Dieu désire ardemment qu’un plus grand nombre soit sauvé, et il se réjouit avec les anges de Dieu lorsque des âmes sont délivrées des griffes de l’enfer.

La maîtrise de soi n’est pas une fable, mais bien un don de Dieu, qui fait bénéficier même ceux qui ne le cherchent pas. Surpris de voir son évolution, ils la regardent agir, ils voient en elle une joie et une paix, celle que Christ donne aux siens. Une connaissance grandissante ouvrira leurs yeux, et beaucoup verront la complaisance, et ils se mettront à sa poursuite. Car la maîtrise de soi est un mariage à la Volonté à qui elle est destinée, c’est-à-dire à la volonté de Dieu. Complaisance, disions-nous? Certainement! Car ceux et celles qui maîtrisent leur chair, - avec l’aide de Christ - sont totalement disposés à se conformer à la volonté de leur Père Céleste, au contraire de ceux qui, refusant de se maîtriser, se placent eux-mêmes, de façon réfléchie, sous l’esclavage de l’ignorance et du péché. Ils sont alors vulnérables à la dictature et à la torture que leur fera subir le diable. Sachons-le, l’ennemi ne bénira jamais ceux qui se placent sous sa dictature, car sa seule récompense sera de leur offrir l’enfer éternel…

La maîtrise de soi est un gage d’une intelligence libre et réfléchie. Elle fait la distinction claire et nette d’une voie tracée devant elle, et cette voie devient un objectif. Ton bonheur et ta satisfaction, c’est la joie et le bien-être de l’autre. Un des plus grands commandements de Dieu n’est-il pas d’aimer son prochain comme soi-même?

Nous pourrions continuer, mais essayons plutôt de mettre en pratique ce que nous venons d’étudier. Ne soyons pas déshérités de la Vie Éternelle.  Efforçons-nous de comprendre jusqu’où la maîtrise de soi conduit; à ce verset 17 de Philippiens 2, où l’apôtre Paul dira : "Peut-être mon sang va-t-il être versé, comme une offrande ajoutée au sacrifice que votre foi présente à Dieu. Si tel doit être le cas, j’en suis heureux et vous associe tous à ma joie."

Demandons à Dieu et à Jésus-Christ d’ouvrir nos intelligences, d’ouvrir nos cœurs endurcis à la Sagesse qui nous est présentée par Dieu, Amen.

samedi 15 septembre 2012

Le vin nouveau et les vieilles outres



Matthieu 9 : 16-17 "Personne ne met une pièce de drap neuf à un vieil habit; car elle emporterait une partie de l’habit, et la déchirure serait pire. On ne met pas non plus du vin nouveau dans de vieilles outres; autrement, les outres se rompent, le vin se répand, et les outres sont perdues; mais on met le vin nouveau dans des outres neuves, et le vin et les outres se conservent."

L’homme doit accepter que Christ fasse le ménage en lui. Son ancienne manière de vivre, de penser, les péchés dans lequel il aimait se vautrer, tout ça doit disparaître avant que Christ ne puisse venir s’installer en lui. L’apôtre Paul dira en 1 Corinthiens 10 : 21 que nous ne pouvons pas boire à la fois à la coupe du Seigneur et à celle des esprits mauvais. Car l’homme ne peut pas à la fois marcher avec Christ, et avec le diable et ses convoitises. Jésus sera clair à ce sujet en Matthieu 6 : 24 "Nul ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l’un, et aimera l’autre; ou il s’attachera à l’un, et méprisera l’autre." Le véritable chrétien est celui qui méprise le péché, et qui marche comme Jésus a marché.

Jésus est la première outre. C’est aussi lui le vin nouveau, le vin des noces de Cana, en Jean 2 : 1-11. Certaines personnes diront que ce miracle accompli par Jésus donne le droit aux chrétiens de boire des boissons enivrantes, mais ce qu’à accompli Jésus ici n’a rien à voir avec cela. Ce miracle a une importante signification spirituelle. Lisons simplement en Jean 2 : 10, lorsque l’ordonnateur de la fête, ayant appelé l’époux, lui dit : "Tout homme sert d’abord le bon vin, puis le moins bon après qu’on s’est enivré; toi, tu as gardé le bon vin jusqu’à présent."

Le bon vin représente la nouvelle alliance de Dieu avec les hommes, par Jésus-Christ. Le moins bon vin représente l’ancienne alliance, la loi de Moïse, qui ne pouvait pas sauver. Jésus n’est pas venu abolir la loi de Moïse, mais l’accomplir et la compléter. Car la loi de Moïse annonçait aux Israélites qu’un Sauveur allait venir, et elle les invitait à croire à Lui, mais la loi elle-même ne pouvait pas sauver. Au désert, le serpent d’airain élevé entre ciel et terre invitait les Hébreux à se départir de leur ancienne manière de vivre et à se tourner vers celui qui viendrait, plus tard, être cloué sur la croix, afin de faire périr avec lui, une fois pour toutes, cette matière et cette nature pécheresse dont nous sommes faits, nous, les humains. C’est ainsi que Jésus est venu apporter la nouvelle alliance de Dieu avec les hommes.

Jésus, Dieu fait homme, est le passage parfait entre l’ancienne et la nouvelle alliance. Il est venu nous apporter ce qu’il y a de plus nouveau et de meilleur. C’est pourquoi nous devons accepter de nous départir de notre ancienne manière de vivre, nous devons accepter que notre vieille outre soit brisée par le Christ. Ô brise-nous, Seigneur! Brise-nous, et fais de nous des outres nouvelles, des outres dans lesquelles tu pourras déposer le vin nouveau de ta Parole!

Car comment pourrions-nous continuer de vivre selon les manières du monde, tout en possédant un si précieux héritage? Cela est impossible! Jacques 4 : 4 dira d’ailleurs que celui qui veut être ami du monde se rend ennemi de Dieu. Être ami du monde, c’est de vivre sa vie à sa façon, sans se soucier de ce que Dieu en pense. De nos jours, nous entendons souvent cette phrase : "Mon pauvre ami, tu n’as qu’une vie à vivre, vie la donc pleinement!" Certes, il est vrai que nous n’avons qu’une vie à vivre, mais est-ce bien de la vivre pleinement que de ne pas se soucier de Dieu, qui nous prête cette vie? Si nous tenons à vivre comme il nous plaît, en tout point, alors, nous demeurons de vieilles outres sales, et il nous est impossible d’accueillir en nous le vin nouveau de la grâce de Dieu.  

Le vieil habit, la vieille outre. Nous pourrions les appeler "ancienne manière de vivre", et nature humaine. Ils sont incompatibles avec ce que Dieu veut nous voir vivre. "Personne ne met une pièce de drap neuf à un vieil habit; car elle emporterait une partie de l’habit, et la déchirure serait pire." La déchirure est inévitable entre Dieu et les hommes qui ont accepté Jésus, mais qui n’ont pas accepté de marcher dans les traces qu’Il nous a laissées. À l’église de Laodicée, où les gens étaient soi-disant chrétiens, mais ne vivaient que pour satisfaire leurs propres convoitises, il sera dit, en Apocalypse 3 : 15-16 : "Je connais tes œuvres. Je sais que tu n’es ni froid ni bouillant. Puisses-tu être froid ou bouillant! Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n’es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche." Et en 2 Pierre 2 : 21-22, nous lisons : "Car mieux valait pour eux n’avoir pas connu la voie de la justice, que de se détourner, après l’avoir connue, du saint commandement qui leur avait été donné. Il leur est arrivé ce que dit un proverbe vrai: Le chien est retourné à ce qu’il avait vomi, et la truie lavée s’est vautrée dans le bourbier."

Mais Dieu ne retourne pas à ce qu’il a vomi. Quel terrible sort attend ceux qui seront vomis de la bouche de Dieu! Il vaut mieux ne pas attendre ce moment. Il vaut mieux accepter que Jésus fasse le ménage en nous, comme il l’a fait dans le temple à Jérusalem. Oui, acceptons maintenant d’être complètement nettoyés et régénérés par le précieux sang du Christ, afin d’être une maison où il plaît à Dieu d’y vivre. Ne nous nourrissons plus des choses malsaines du monde. Souvenons-nous : nous ne pouvons pas à la fois boire à la coupe du Seigneur et à celle des démons. Acceptons avec reconnaissance le pain nouveau qu’est Jésus. Le pain descendu du ciel, dont Il fait mention en Jean 6 : 51. Buvons le vin nouveau, et nourrissons-nous du pain nouveau, qui sont l’alliance nouvelle de Dieu avec les hommes. Oui, mangeons le pain du Seigneur, et buvons à sa coupe, dans un abandon total à Dieu. La nouvelle outre que nous devenons après avoir réellement accepté Christ, c’est Dieu qui l’a moulée à sa façon. Comme l’argile dans les mains du potier, nous sommes dans les mains de notre Seigneur, complètement abandonnés à Lui, comme Christ l’a fait, lorsqu’il s’adressait au Père, au jardin de Gethsémané.   

Seigneur Jésus-Christ, je viens vers toi, aujourd’hui, le cœur brûlant d’espérance dans ta miséricorde pour la race humaine. Grand Dieu, Tu as envoyé ton Fils unique périr sur la croix, afin de me donner la vie. Je ne veux pas que cela soit inutile pour moi. Seigneur Jésus, c’est pourquoi je me remets entre tes mains, car je veux être sous ta protection, comme un poussin sous les ailes de la mère poule. L’adversité est grande, car l’ennemi rôde jour et nuit à la recherche de faibles et désespérés. Mais je suis faible, Jésus! Faible et fou, perdu sans ta sagesse pour me guider parmi les imprécations de cette vie présente, et mon âme soupire après toi! Je te supplie, Jésus, apprends-moi à rejeter mon ancienne manière de vivre, une fois pour toutes. Je ne veux plus regarder en arrière, mais je veux foncer résolument vers l’avant. Le passé est le passé, ce qui est fait est fait, tout cela est écrit dans mon petit livre. Mais toi seul, Jésus, toi seul peut faire qu’à partir de maintenant, ce qui sera écrit dans mon petit livre sera conforme avec ta nouvelle alliance, c’est à dire avec ce qui est écrit dans le grand livre de la Vie, la Parole de Dieu. À partir de maintenant, Jésus, en tant qu’outre neuve, et malgré que je ne mérite rien, je veux accueillir en moi l’eau de la source de vie, cette eau du Saint-Esprit qui coule en tous ceux qui croient en la puissance de cette eau, que tu es venu nous apporter au prix de ton sang, et au détriment de ton propre corps de chair. Oui, comme tu as marché, Jésus, avec ton aide, je marcherai également, car je sais que celui qui proclame être enfant de Dieu doit vivre comme Tu as vécu, afin de revêtir les vêtements blancs de la justification, de la grâce et de la sanctification. Que la gloire soit rendue à Dieu pour tous ses bienfaits, merci Père, merci Jésus, merci Saint-Esprit, Amen.

vendredi 7 septembre 2012

Nous sommes justifiés par la foi



Romains 5 : 1-2 Étant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ, à qui nous devons d’avoir eu par la foi accès à cette grâce, dans laquelle nous demeurons fermes, et nous nous glorifions dans l’espérance de la gloire de Dieu.

Oui, demeurons fermes dans la foi, persévérons jusqu’à la fin, et nous recevrons le salut éternel. Nous savons que cela est vrai et digne de confiance, parce que c’est notre Seigneur Jésus lui-même qui a dit cette promesse, en Matthieu 24 :13. Confiants et reconnaissants, notre espérance renouvelée, nous nous approchons de notre Maître afin de le louer et de l’adorer, comme il convient de le faire pour un si grand Roi!

Seigneur Jésus-Christ, me voici encore en ta présence pour contempler ta gloire, la gloire éternelle qui a vaincu le monde présent, par l’amour de Dieu, le Dieu vainqueur. Merci Jésus, car tu m’as trouvé! Ton amour a bouleversé les temps et les âges, afin de réconcilier le monde avec Dieu, notre Dieu véritable, juste et vrai. Merci Jésus, car tu réponds à ceux qui font appel à ton Nom. Merci Jésus de la semence que tu fournis aux semeurs, afin que le plus de monde possible échappe au jugement dernier, lorsque tu paraîtras pour rendre justice et sentence, selon le choix que nous aurons fait nous-mêmes ici bas. Oui, Seigneur Jésus-Christ, nous avons le choix d’avoir la foi, une foi pure ou tachetée, mais ô Dieu, c’est la foi pure en Jésus-Christ que tu regardes, et c’est encore par elle que tu nous justifies et nous accordes ta grâce bienfaisante.

Jésus, depuis tous les temps tu vis, et pour toujours ton trône est établi dans les gloires célestes, en présence de Dieu, le Père du ciel et de la terre. C’est toi, Seigneur Jésus-Christ, qui, au commencement, as façonné la terre, et d’une boule d’eau qu’elle était, tu lui as donnée consistance, et maintenant, elle tournoie dans l’espace sans l’aide de rien, si ce n’est que ta Parole la tient en place. Béni soit notre Dieu, qu’il en soit ainsi, selon Ta sainte volonté, Toi qui règne parfaitement sur l’ensemble de ton œuvre. Oui, que Ta volonté, Père, s’accomplisse sur la terre comme elle l’est au ciel. Mais surtout, Seigneur, que Ta volonté soit faite en moi, et que, tous les jours qui me reste à vivre, je te rende la gloire qui te revient. Oui, la sainteté te revient, ainsi que la louange, l’honneur et la gloire pour toujours, Amen et Amen.   

samedi 1 septembre 2012

Faim et soif de la Parole de Dieu



Psaumes 107 : 1-9  Louez l’Éternel, car il est bon, car sa miséricorde dure à toujours! Qu’ainsi disent les rachetés de l’Éternel, ceux qu’il a délivrés de la main de l’ennemi, et qu’il a rassemblés de tous les pays, de l’orient et de l’occident, du nord et de la mer! Ils erraient dans le désert, ils marchaient dans la solitude, sans trouver une ville où ils pussent habiter. Ils souffraient de la faim et de la soif; leur âme était languissante. Dans leur détresse, ils crièrent à l’Éternel, et il les délivra de leurs angoisses; Il les conduisit par le droit chemin, pour qu’ils arrivassent dans une ville habitable. Qu’ils louent l’Éternel pour sa bonté, et pour ses merveilles en faveur des fils de l’homme! Car Il a satisfait l’âme altérée, Il a comblé de biens l’âme affamée.
Oui, soyons reconnaissants envers notre Dieu pour ses bontés, car alors que nous étions sans espoir, Il nous a délivrés de la tempête, Il nous a délivrés de la main de l’ennemi. Nous savons bien que notre passage sur la terre est éphémère, mais ô combien sommes-nous reconnaissants envers le bon Berger, notre Seigneur Jésus-Christ, car Il a renouvelé notre espérance. Nous avons gémi et crié, et Il a entendu notre voix, et alors que nous étions égarés, Il nous a ramenés au bercail. Gloire à Dieu! Nous nous souvenons de ce jour glorieux où il s’est fait connaître à nous; quelle joie de se savoir aimé d’un si grand Dieu!

Ce que je veux, Seigneur Jésus-Christ, c’est que mes lèvres proclament ta gloire et ta louange, et que mon cœur soit avide de ton amour et de ta puissance, que mon intelligence soit recouverte et transformée par ta puissante Parole, qui est la santé pour l’âme. Seigneur,  que ma conscience soit lavée dans ton précieux sang! Car j’étais comme une brebis perdue, malade, et j’étais à l’agonie. J’étais sans espoir, sans force pour revenir au bercail. J’étais constamment rabattu au sol. Le soleil se couchait bien sur les jours, mais je demeurais dans le silence de mon âme. J’étais si abattu que mes os commençaient à se consumer sous la solitude qui commençait à poindre en moi; quel désespoir! La mort au cœur, l’âme en souffrance, je me débattais sans espoir. Je soupirais près du torrent, mais j’étais devenu trop faible pour m’y rendre et m’y désaltérer. Je regardais de loin, je voyais seulement le soleil se coucher sur les jours, et jamais je ne sentais sur moi le réconfort de sa chaleur. Je regardais près de moi, je voyais l’aurore sortir à l’horizon, et pourtant je restais sans espoir.

Je regardai alors bien au-delà des nuages, et j’y ai vu une espérance nouvelle, et cette espérance est le salut que Dieu avait préparé pour moi. Ce salut est l’œuvre de Jésus, l’œuvre qu’Il a faite pour moi est une bénédiction éternelle!   Au cours de mon éphémère voyage, j’ai vu la tempête, elle tournait et grondait, mais avant qu’elle ne cause ma perte, Jésus, qui me regardait de loin, me saisit par la main, et Il eut pitié de moi. J’aurais complètement perdu la raison s’Il ne m’avait pas vu juste à temps. Il m’a délivré du cône immense qui voulait m’envelopper, qui menaçait de m’emmener loin de la présence de Dieu. Gloire à Jésus! Tu m’as vu, et Tu as eu pitié de moi! Aujourd’hui, je ressens déjà cette joie nouvelle m’envahir; c’est la foi, l’espérance, l’amour, la justice et la fidélité qui entrent en moi par la puissance du Saint-Esprit.

Je veux maintenant toujours plus connaître mon Maître, mon Berger. Il m’a appelé, et Il m’appelle encore aujourd’hui. Je lui dis : Oui, Seigneur, me voici, je viens, car à nouveau, j’entends ta voix, et je réponds à tes appels. Ce que je veux, Seigneur, c’est de toujours respirer que pour te rendre gloire, que chaque battement de mon cœur soit une louange en l’honneur de ton nom. Ma bouche exprime un chant de reconnaissance pour tant de bénédictions. Je te remercie mon Dieu, je te remercie Jésus car je peux voir et comprendre ton ascension jusqu’au plus haut des cieux. Lorsque tu as été élevé dans la gloire, tu ne m’as pourtant pas dépourvu de biens, mais tu m’as laissé une puissante lumière, cette Parole qui a pénétré jusqu’à la moelle de mes os, et elle a réchauffé mon cœur, qui était pourtant refroidi par l’indifférence.

Aujourd’hui, je peux regarder vers la montagne d’où me vient le secours, et m’écrier avec tous les saints : Que le nom de Jésus soit béni, au siècle des siècles, Amen!