Luc 18: 1-8 "Jésus leur adressa une parabole, pour montrer qu’il faut
toujours prier, et ne point se relâcher. Il dit: Il y avait dans une
ville un juge qui ne craignait point Dieu et qui n’avait d’égard pour
personne. Il y avait aussi dans cette ville une veuve qui venait lui
dire: Fais-moi justice de ma partie adverse. Pendant longtemps il
refusa. Mais ensuite il dit en lui-même: Quoique je ne craigne point
Dieu et que je n’aie d’égard pour personne, néanmoins, parce que cette
veuve m’importune, je lui ferai justice, afin qu’elle ne vienne pas sans
cesse me rompre la tête. Le Seigneur ajouta: Entendez ce que dit le
juge inique. Et Dieu ne fera-t-il pas justice à ses élus, qui crient à
lui jour et nuit, et tardera-t-il à leur égard? Je vous le dis, il leur
fera promptement justice. Mais, quand le Fils de l’homme viendra,
trouvera-t-il la foi sur la terre?"
Observons l'importance de la
persévérance dans la foi et la prière. La persévérance de la veuve vint à
bout du juge inique, à plus forte raison nos prières de supplications
seront entendues par Dieu, lorsque nous le prions par Jésus-Christ notre
Seigneur et Sauveur, seul intermédiaire entre le Père et les hommes.
Nous
pouvons parfois dire : Seigneur, ça doit être fatiguant toujours se
faire demander. Je suis toujours là devant toi à te demander de
m'accorder telle ou telle bénédiction spirituelle, matérielle ou
corporelle. Mais en réalité, il aime que nous soyons devant Lui avec un
cœur brisé et contrit, le suppliant de nous aider. Mais nous savons ce
qu'Il nous demande en retour: de vivre par la foi en son puissant Nom,
afin de lui rendre l'honneur pour la Vie qu'Il donne aux humains et pour
toutes ses bénédictions passées, présentes et à venir. Louons-le pour toutes ses bénédictions!
Reconnaissons
que cela est vrai: la louange, c'est de reconnaître avec certitude que
Dieu est puissant. De croire que d'une seule parole, Il a fait tout ce
qui existe. Reconnaissons sa suprématie en toutes choses, dans toutes
les merveilles qu'Il a créées. Par son autorité, Il maintient toutes les
pièces de sa création en place. Toute la gloire à notre Dieu, le
Tout-Puissant, le Dieu vivant, le seul Dieu, le seul vrai Dieu, il en
n'a point d'autre! C'est par la foi en ton puissant Nom que je crois; Tu
es une lumière éternelle pour tous ceux qui croient!
Que mes
paroles ne soient pas ds paroles seulement, mais que mes actions et ma
foi témoignent de ma foi au Nom de Dieu et de Jésus-Christ par ma
fermeté à demeurer en Jésus en toutes situations, bonnes ou mauvaises.
Il est venu jusqu'à moi pour me montrer le chemin et me conduire jusqu'à
la vie éternelle. Non seulement cela, mais Il veut aussi m'y
accompagner tous les jours de ma vie! C'est la raison pour laquelle je
témoignerai de la vérité révélée par Jésus, de sa miséricorde, de son
amour et de sa paix. Honneur, gloire et louange à Dieu et à Jésus-Christ
par la grande puissance du Saint-Esprit qui conduit à la plénitude de
vérité et de vie qui nous vient du Père et du Fils. Amen!
Encore en
ce jour Seigneur Jésus, je te supplie de m'aider à vivre ce que je viens
de reconnaître, afin que je le mette en pratique jusqu'à mon dernier
soupir. Seigneur Jésus, c'est ta présence que je veux, c'est ton
autorité que je veux. Je veux penser et agir que pour te rendre gloire,
louange et honneur. Je ne veux pas avoir une feuille dans la main droite
disant : "Je veux" que pour plaire à ma nature humaine, et une autre
dans la main gauche disant "Je ne veux pas", encore une fois pour
satisfaire ma nature humaine. Non! alors que je me tourne vers toi grand
maître suprême, je te supplie simplement de me montrer ta volonté, car
c'est en elle que je me confie, et je veux lui obéir. C'est à toi que je
veux me soumettre, et non pas à ma nature pécheresse! Oui, je sais que
tu demandes beaucoup, tu exiges rien de moins que la totalité de
nous-mêmes, dans un abandon total de soi-même, car tu es un Dieu jaloux
et redoutable. Mais merci Seigneur Jésus-Christ de l'aide que tu vas
m'apporter à toujours rechercher le bien et vivre dans l'obéissance à ta
parole, car elle seule me dicte la seule façon de me conduire en
suivant l'exemple de ceux qui ont vécu comme Jsus a vécu. Merci mon
Dieu, merci Jésus, merci! Amen!
dimanche 31 août 2014
Persévérance dans la foi et la prière/La louange soit rendue à Dieu seul!
Libellés :
actions de grâce,
bénédiction,
foi,
persévérance,
persévérer,
prière,
Saint-Esprit,
Sainte Trinité,
supplication,
volonté,
volonté de Dieu
jeudi 21 août 2014
Complainte d'une veuve
Seigneur Jésus-Christ, je viens vers toi Puissant Dieu vivant, tu es mon
seul consolateur. Je me tourne vers le Seigneur, mon Dieu, pour crier
ma plainte; je te demande de prêter attention quand je suis dans la
détresse. Je me tourne sans relâche vers toi, mon Dieu, et la nuit ma
main se tend vers toi.
J'ai perdu mon mari et mes enfants. La mort est venue me les ravir. Le destin a frappé cruellement. Il n'y a pas si longtemps, nous étions tous là, nous pouvions partager nos peines et nos joies. Mon mari, mon meilleur ami, n'est plus là. Nous avons connu des moments si merveilleux! Toutes ces années de bonheur à s'aimer tendrement... il n'en reste plus rien! Tout s'est envolé, tout est disparu. Mes petits... je vous ai portés neuf mois, vous étiez ma joie de vivre, mes petits rayons de soleil. Je suis écrasée , toute force s'est enfuie de moi. Je n'ai plus le courage de continuer. Continuer pour qui, pour quoi? Ceux que j'aimais tant ne sont plus là! Comme la vie peut être cruelle!
C'est une longue complainte que je lance devant toi Seigneur Jésus. Tes desseins sont durs à comprendre. Que pouvait-il m'arriver de pire? Le chagrin me paralyse, viens à mon secours Jésus! J'étouffe sous ce fardeau insupportable! Renouvelle mon courage et ma force, fais-moi comprendre tes décisions, ne me laisse pas sombrer dans le désespoir, je suis si petite, si faible, viens à mon aide! J'implore ta pitié et ta miséricorde, toi seul peut faire quelque chose pour moi. Grand Dieu, tu as tout donné, puis tu as tout repris, que ton saint Nom soit béni et que ta volonté se fasse! J'ai confiance en toi, car tu as dit, Jésus : "Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués, et je vous donnerai du repos." Je crois que tu n'abandonnes pas ceux qui se tournent vers toi, c'est pourquoi je remets tout entre tes mains. Merci, merci Jésus, j'espère en toi. Merci Jésus, merci mon Dieu, merci Saint-Esprit, merci!
J'ai perdu mon mari et mes enfants. La mort est venue me les ravir. Le destin a frappé cruellement. Il n'y a pas si longtemps, nous étions tous là, nous pouvions partager nos peines et nos joies. Mon mari, mon meilleur ami, n'est plus là. Nous avons connu des moments si merveilleux! Toutes ces années de bonheur à s'aimer tendrement... il n'en reste plus rien! Tout s'est envolé, tout est disparu. Mes petits... je vous ai portés neuf mois, vous étiez ma joie de vivre, mes petits rayons de soleil. Je suis écrasée , toute force s'est enfuie de moi. Je n'ai plus le courage de continuer. Continuer pour qui, pour quoi? Ceux que j'aimais tant ne sont plus là! Comme la vie peut être cruelle!
C'est une longue complainte que je lance devant toi Seigneur Jésus. Tes desseins sont durs à comprendre. Que pouvait-il m'arriver de pire? Le chagrin me paralyse, viens à mon secours Jésus! J'étouffe sous ce fardeau insupportable! Renouvelle mon courage et ma force, fais-moi comprendre tes décisions, ne me laisse pas sombrer dans le désespoir, je suis si petite, si faible, viens à mon aide! J'implore ta pitié et ta miséricorde, toi seul peut faire quelque chose pour moi. Grand Dieu, tu as tout donné, puis tu as tout repris, que ton saint Nom soit béni et que ta volonté se fasse! J'ai confiance en toi, car tu as dit, Jésus : "Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués, et je vous donnerai du repos." Je crois que tu n'abandonnes pas ceux qui se tournent vers toi, c'est pourquoi je remets tout entre tes mains. Merci, merci Jésus, j'espère en toi. Merci Jésus, merci mon Dieu, merci Saint-Esprit, merci!
jeudi 14 août 2014
Croissez dans la grâce, par Charles H. Spurgeon
2 Pierre 3: 18 : Mais croissez dans la grâce et dans la connaissance de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ.
Croissez dans la grâce; pas dans la grâce seulement, mais dans toute la grâce. Croissez par cette racine de la grâce, la foi. Croyez aux promesses d’une manière plus ferme que vous ne le faites. Laissez la foi croître dans la plénitude, la constance, la simplicité. Croissez aussi dans l’amour. Demandez que votre amour puisse être accru, plus intense, plus pratique, influençant chaque pensée, mot, et action.
Croissez également dans l’humilité. Cherchez à ne pas vous mentir, et à en savoir plus sur votre propre néant. Alors que vous décroissez vers l’humilité, cherchez aussi à grandir, en vous approchant de Dieu dans la prière, par une communion plus intime avec Jésus. Puisse le Saint-Esprit vous permettre de grandir dans la connaissance de notre Seigneur et Sauveur.
Celui qui ne grandit pas dans la connaissance de Jésus, refuse d’être béni. Le connaître Lui-même c’est la vie éternelle, et avancer dans Sa connaissance revient à augmenter notre bonheur. Celui qui ne fait rien pour connaître davantage Christ, ne sait encore rien de lui. Quiconque a siroté ce type de vin aura encore davantage soif, et bien que Christ soit d’une certaine manière satisfait, l’appétit ne l’est pas. Si vous connaissez l’amour de Jésus comme le cœur palpitant recherche les eaux d’un ruisseau, votre volonté ne sera pas essoufflée par la profondeur de son amour. Si vous ne désirez pas mieux le connaître, alors vous ne l’aimez pas, car l’amour crie sans cesse, plus près, plus près!
L’absence de Christ, c’est l’enfer; mais la présence de Jésus c’est le ciel. Alors ne reste pas satisfait sans une connaissance croissante de Jésus. Cherche à en savoir plus sur sa nature divine, dans son rapport humain, dans son travail accompli, dans sa mort, dans sa résurrection, dans sa glorieuse intercession présente, et dans sa future venue, en tant que roi. Demeure fort par la Croix, et recherche le mystère de ses blessures. Une augmentation de l’amour de Jésus, et une approche plus parfaite de cet amour à notre égard sont une des meilleures preuves de croissance dans la grâce. Amen.
Croissez dans la grâce; pas dans la grâce seulement, mais dans toute la grâce. Croissez par cette racine de la grâce, la foi. Croyez aux promesses d’une manière plus ferme que vous ne le faites. Laissez la foi croître dans la plénitude, la constance, la simplicité. Croissez aussi dans l’amour. Demandez que votre amour puisse être accru, plus intense, plus pratique, influençant chaque pensée, mot, et action.
Croissez également dans l’humilité. Cherchez à ne pas vous mentir, et à en savoir plus sur votre propre néant. Alors que vous décroissez vers l’humilité, cherchez aussi à grandir, en vous approchant de Dieu dans la prière, par une communion plus intime avec Jésus. Puisse le Saint-Esprit vous permettre de grandir dans la connaissance de notre Seigneur et Sauveur.
Celui qui ne grandit pas dans la connaissance de Jésus, refuse d’être béni. Le connaître Lui-même c’est la vie éternelle, et avancer dans Sa connaissance revient à augmenter notre bonheur. Celui qui ne fait rien pour connaître davantage Christ, ne sait encore rien de lui. Quiconque a siroté ce type de vin aura encore davantage soif, et bien que Christ soit d’une certaine manière satisfait, l’appétit ne l’est pas. Si vous connaissez l’amour de Jésus comme le cœur palpitant recherche les eaux d’un ruisseau, votre volonté ne sera pas essoufflée par la profondeur de son amour. Si vous ne désirez pas mieux le connaître, alors vous ne l’aimez pas, car l’amour crie sans cesse, plus près, plus près!
L’absence de Christ, c’est l’enfer; mais la présence de Jésus c’est le ciel. Alors ne reste pas satisfait sans une connaissance croissante de Jésus. Cherche à en savoir plus sur sa nature divine, dans son rapport humain, dans son travail accompli, dans sa mort, dans sa résurrection, dans sa glorieuse intercession présente, et dans sa future venue, en tant que roi. Demeure fort par la Croix, et recherche le mystère de ses blessures. Une augmentation de l’amour de Jésus, et une approche plus parfaite de cet amour à notre égard sont une des meilleures preuves de croissance dans la grâce. Amen.
dimanche 10 août 2014
Blessés par la guerre
Des guerres font rage partout autour de la terre. Prions pour tous ces gens qui, de près ou de loin, sont
affectés par elle. Quoi qu'en disent les païens, ces guerres ne
sont pas causées par Dieu, mais bien par son adversaire le diable et
ses serviteurs, qui combattent l'amour de Jésus par tous les moyens.
Satan sait qu'il ne lui reste que peu de temps, aussi combat-il de
toutes ses forces le message d'amour du Christ : « Aimez-vous
les uns les autres comme je vous ai aimé. »
Seigneur Jésus-Christ nous venons
implorer ta miséricorde pour ta création. Combien de petits
souffrent? Combien sont abandonnés, ils n'ont plus de père, ils
n'ont plus de mère? Combien de mères perdent leur mari, leurs
enfants à cause de la guerre et de la haine des humains? Pourquoi
cette haine? Pourquoi ne pas chercher à se comprendre? Pourquoi ne
pas chercher à s'entraider?
Toi qui vois et entend tout Jésus, tu
vois aussi ces soldats, il faut qu'ils aillent se battre, c'est
décourageant pour eux, ils ne voient aucune issue possible, aucun
accord, et aussi, sont-ils prêts à mourir?
Seigneur Jésus, nous te prions pour ces soldats qui ne veulent pas
tuer leurs semblables, bénis-les Seigneur Jésus-Christ, afin qu'ils
trouvent la force en Toi et en Toi seul. Tu es venu mourir sur la
croix pour qu'eux aussi ils soient sauvés. Combien sont blessés en
ce moment, ils sont là, sans secours, ils agonisent. Merci Seigneur
Jésus-Christ de te faire connaître à eux; que Ta mort sur la croix
ne soit pas inutile pour le plus grand nombre possible. Il y a aussi
ces personnes innocentes Seigneur Jésus-Christ, ils sont blessés,
il n'y a personne à l'horizon pour venir à les secourir. Pitié
Jésus, pitié! Nous crions vers Toi implorant Ta miséricorde.
L'humanité court à sa perdition sans Toi Jésus. Ta Parole est
Puissante, elle détruit les flèches enflammées du mauvais pour
celui ou celle qui croit en Ton Nom. Comment ne pas te remercier Père
Éternel, car Tu es le Maître de toutes choses visible et invisible.
Ô Dieu, Toi qui créa tous les univers, tout ce qui tourne dans
l'espace, Tu n'as pas créé les humains pour qu'ils se détruisent
entre eux. Tu n'as pas créé la violence et la guerre, mais tu as
tant aimé le monde que tu as sacrifié ton Fils Jésus pour nous. Pitié
Grand Dieu, pitié Seigneur Jésus-Christ pour tous ceux qui sont
désespérés. Seigneur Jésus-Christ qui d'autre que Toi peut venir
à leur secours, guérir leur cœur et leur corps meurtri, ils sont
fatigués de cette haine, ils cherchent du repos, ils ont un lourd
fardeau. Merci Seigneur Jésus-Christ de leur permettre de se
décharger, tu leur apportes un joug léger à porter. Merci Jésus
de ton amour, merci Père, Fils et Saint-Esprit de réconforter ces
cœurs remplis d'inquiétude, de leur apporter du repos, une paix
intérieure qui vient de Toi seul. Merci, merci Grand Dieu
Tout-Puissant, merci Seigneur Jésus-Christ et merci Saint-Esprit.
dimanche 3 août 2014
Hérode et sa conscience
Marc 6: 14-29 "Le roi Hérode entendit parler de Jésus, dont le nom était
devenu célèbre, et il dit: Jean Baptiste est ressuscité des morts, et
c’est pour cela qu’il se fait par lui des miracles. D’autres disaient:
C’est Elie. Et d’autres disaient: C’est un prophète comme l’un des
prophètes. Mais Hérode, en apprenant cela, disait: Ce Jean que j’ai fait
décapiter, c’est lui qui est ressuscité. Car Hérode lui-même avait fait
arrêter Jean, et l’avait fait lier en prison, à cause d’Hérodias, femme
de Philippe, son frère, parce qu’il l’avait épousée, et que Jean lui
disait: Il ne t’est pas permis d’avoir la femme de ton frère. Hérodias
était irritée contre Jean, et voulait le faire mourir. Mais elle ne le
pouvait; car Hérode craignait Jean, le connaissant pour un homme juste
et saint; il le protégeait, et, après l’avoir entendu, il était souvent
perplexe, et l’écoutait avec plaisir. Cependant, un jour propice arriva,
lorsque Hérode, à l’anniversaire de sa naissance, donna un festin à ses
grands, aux chefs militaires et aux principaux de la Galilée. La fille
d’Hérodias entra dans la salle; elle dansa, et plut à Hérode et à ses
convives. Le roi dit à la jeune fille: Demande-moi ce que tu voudras, et
je te le donnerai. Il ajouta avec serment: Ce que tu me demanderas, je
te le donnerai, fût-ce la moitié de mon royaume. Étant sortie, elle dit à
sa mère: Que demanderai-je? Et sa mère répondit: La tête de Jean
Baptiste. Elle s’empressa de rentrer aussitôt vers le roi, et lui fit
cette demande: Je veux que tu me donnes à l’instant, sur un plat, la
tête de Jean Baptiste. Le roi fut attristé; mais, à cause de ses
serments et des convives, il ne voulut pas lui faire un refus. Il envoya
sur-le-champ un garde, avec ordre d’apporter la tête de Jean Baptiste.
Le garde alla décapiter Jean dans la prison, et apporta la tête sur un
plat. Il la donna à la jeune fille, et la jeune fille la donna à sa
mère. Les disciples de Jean, ayant appris cela, vinrent prendre son
corps, et le mirent dans un sépulcre."
Un tétrarque - que l'évangéliste Marc appelle ici un roi - pécheur qui a une épouse illégitime et meurtrière, ainsi qu'une jeune fille sensuelle (nulle autre que la fille de son demi-frère) voilà qui suffit à sceller le sort de Jean Baptiste.
Hérode appréciait écouter les enseignements de Jean, mais son cœur était fermé à Dieu. Il ne se laissait pas transformer par la parole vivante du Saint-Esprit qui lui parlait à travers Jean Baptiste. Il avait ce péché d'adultère qu'il ne voulait pas reconnaître comme tel. Imaginons un instant Jean Baptiste, debout devant le trône d'Hérode, prêchant comme à son habitude sur le royaume de Dieu. Soudain le Saint-Esprit lui met des paroles dans la bouche, des paroles qu'il ne peut pas retenir. Mais peut-être a-t-il été tenté par satan : "Qu’es-tu, Jean, devant un homme qui a pouvoir sur toutes choses, même sur ta vie? Si tu tiens à la vie, ne t'aventures pas sur cette voie. Ne dit que des choses bonnes à entendre, et certainement tu auras la vie sauve." Mais Jean Baptiste avait atteint cet autre niveau dans sa vie spirituelle avec Dieu. Il ne pouvait ni ne voulait considérer sa vie comme ayant plus de valeur qu'une âme à sauver. Pointant un doigt accusateur vers Hérode, il lui dit sans détour ses péchés et il ajouta : "il ne t’est pas permis d’avoir la femme de ton frère!" Cet homme, simplement vêtu de vêtement de poils de chameau, et d'une ceinture de cuir autour des reins, venait de faire la leçon au tétrarque. Silence dans la salle. Tout l'entourage d'Hérode est abasourdi. Comment ose-t-il? Ce dernier, nous semble-t-il, ne réagit pas sur le moment. Mais son épouse illégitime a tout entendu, et elle est en colère. Elle murmure des mots à l'oreille d'Hérode, et ce dernier fait un geste à ses gardes: "celui-là, jetez-le en prison!"
"Repentez-vous, car le royaume des cieux est proche", prêchait Jean Baptiste lorsqu'il était dans le désert de Judée. C'était une chose de prêcher ce message aux simples citoyens comme lui, mais c'en était une autre d'offrir cette prédication à Hérode en personne! Mais que pouvait-il faire? Cacher la vérité divine sous un sceau dans le but de sauver sa peau? S'il avait fait cela, il aurait perdu son âme!
Le dilemme est le même aujourd'hui pour plusieurs pasteurs un peu partout dans le monde. Doivent-ils prêcher ce qu'ils savent être la vérité divine, ou ne devraient-ils pas plutôt prêcher dans le but de ne pas perdre l'assentiment des fidèles de leur église, voire même à augmenter le nombre de bancs? Nous savons que la prédication sur le péché et la repentance ainsi que la nécessité de mener une vie sainte en recherchant la perfection de Dieu n'est pas populaire de nos jours. Parlez-nous d'un Dieu d'amour qui aime tant ses enfants qu'Il leur laisse faire tout ce qu'ils veulent. Mais ne nous parlez pas d'un Dieu qui place des balises sur notre chemin; - pour notre propre protection - nous voulons faire tout ce qui nous plaît, sans nous troubler la conscience. Mais quoi? C'est exactement ce que firent Hérode et son épouse! Jean, tu nous troubles avec tes histoires de péché, vas-t'en en prison, et cesse de nous empoisonner la conscience.
Vint le jour fatidique où la Jézabel des temps du Christ fit danser sa propre fille pour l'anniversaire d'Hérode. Quelque chose d'aussi dégradant pour une personne de ce rang ne s'était jamais vu en Judée! Mais Hérode fut si impressionné par la danse de la jeune fille qu'il lui offrit par serment tout ce qu'elle désirait. La jeune fille, sur les ordres de sa mère, demanda la mort de Jean Baptiste. Était-ce la fin du prophète? Pas du tout! Mais ce l'était pour Hérode, qui ne voulut pas se convertir et changer de vie malgré l'avertissement qu'il avait reçu de la part du Saint-Esprit.
Après toutes ces choses, nous voyons un Hérode troublé par la prédication de Jésus. Il est persuadé que Jésus est en réalité Jean Baptiste ressuscité! Quelqu'un a dit un jour : "Hérode a eu peur que la mise à mort de Jean fasse élever une rébellion parmi le peuple, ce qui ne s’est pas produit; mais il n’a jamais craint que ce soit sa conscience qui se révolte contre lui, ce qui s’est produit." Sa conscience le trouble donc une fois de plus; on ne peut pas la fuir. Une conscience souillée et accusatrice est la preuve d'une condamnation future, s'il n'y a pas de repentance. N'attendons pas comme Hérode une danse de trop, un péché de trop. Voyez le surplus d'importance qu'il accorda à une simple danse, tout en emprisonnant et tuant un serviteur de Dieu qui ne l'avait averti que pour son propre salut! Si notre conscience nous reproche notre mauvaise conduite, repentons-nous immédiatement de nos péchés! Convertissons-nous! Venons, ou revenons à Jésus, ne faisons pas semblant de marcher avec Jésus tout en vivant dans le péché! Recherchons la vérité de Jésus comme notre plus grand trésor, marchons avec son Esprit, afin que son intelligence prenne la place de notre intelligence corrompue. Proverbes 2: 6-8 "Car l’Éternel donne la sagesse; de sa bouche sortent la connaissance et l’intelligence; Il tient en réserve le salut pour les hommes droits, un bouclier pour ceux qui marchent dans l’intégrité, en protégeant les sentiers de la justice et en gardant la voie de ses fidèles."
Que la gloire soit rendue à Dieu par Jésus-Christ notre Seigneur et Sauveur, Amen.
Un tétrarque - que l'évangéliste Marc appelle ici un roi - pécheur qui a une épouse illégitime et meurtrière, ainsi qu'une jeune fille sensuelle (nulle autre que la fille de son demi-frère) voilà qui suffit à sceller le sort de Jean Baptiste.
Hérode appréciait écouter les enseignements de Jean, mais son cœur était fermé à Dieu. Il ne se laissait pas transformer par la parole vivante du Saint-Esprit qui lui parlait à travers Jean Baptiste. Il avait ce péché d'adultère qu'il ne voulait pas reconnaître comme tel. Imaginons un instant Jean Baptiste, debout devant le trône d'Hérode, prêchant comme à son habitude sur le royaume de Dieu. Soudain le Saint-Esprit lui met des paroles dans la bouche, des paroles qu'il ne peut pas retenir. Mais peut-être a-t-il été tenté par satan : "Qu’es-tu, Jean, devant un homme qui a pouvoir sur toutes choses, même sur ta vie? Si tu tiens à la vie, ne t'aventures pas sur cette voie. Ne dit que des choses bonnes à entendre, et certainement tu auras la vie sauve." Mais Jean Baptiste avait atteint cet autre niveau dans sa vie spirituelle avec Dieu. Il ne pouvait ni ne voulait considérer sa vie comme ayant plus de valeur qu'une âme à sauver. Pointant un doigt accusateur vers Hérode, il lui dit sans détour ses péchés et il ajouta : "il ne t’est pas permis d’avoir la femme de ton frère!" Cet homme, simplement vêtu de vêtement de poils de chameau, et d'une ceinture de cuir autour des reins, venait de faire la leçon au tétrarque. Silence dans la salle. Tout l'entourage d'Hérode est abasourdi. Comment ose-t-il? Ce dernier, nous semble-t-il, ne réagit pas sur le moment. Mais son épouse illégitime a tout entendu, et elle est en colère. Elle murmure des mots à l'oreille d'Hérode, et ce dernier fait un geste à ses gardes: "celui-là, jetez-le en prison!"
"Repentez-vous, car le royaume des cieux est proche", prêchait Jean Baptiste lorsqu'il était dans le désert de Judée. C'était une chose de prêcher ce message aux simples citoyens comme lui, mais c'en était une autre d'offrir cette prédication à Hérode en personne! Mais que pouvait-il faire? Cacher la vérité divine sous un sceau dans le but de sauver sa peau? S'il avait fait cela, il aurait perdu son âme!
Le dilemme est le même aujourd'hui pour plusieurs pasteurs un peu partout dans le monde. Doivent-ils prêcher ce qu'ils savent être la vérité divine, ou ne devraient-ils pas plutôt prêcher dans le but de ne pas perdre l'assentiment des fidèles de leur église, voire même à augmenter le nombre de bancs? Nous savons que la prédication sur le péché et la repentance ainsi que la nécessité de mener une vie sainte en recherchant la perfection de Dieu n'est pas populaire de nos jours. Parlez-nous d'un Dieu d'amour qui aime tant ses enfants qu'Il leur laisse faire tout ce qu'ils veulent. Mais ne nous parlez pas d'un Dieu qui place des balises sur notre chemin; - pour notre propre protection - nous voulons faire tout ce qui nous plaît, sans nous troubler la conscience. Mais quoi? C'est exactement ce que firent Hérode et son épouse! Jean, tu nous troubles avec tes histoires de péché, vas-t'en en prison, et cesse de nous empoisonner la conscience.
Vint le jour fatidique où la Jézabel des temps du Christ fit danser sa propre fille pour l'anniversaire d'Hérode. Quelque chose d'aussi dégradant pour une personne de ce rang ne s'était jamais vu en Judée! Mais Hérode fut si impressionné par la danse de la jeune fille qu'il lui offrit par serment tout ce qu'elle désirait. La jeune fille, sur les ordres de sa mère, demanda la mort de Jean Baptiste. Était-ce la fin du prophète? Pas du tout! Mais ce l'était pour Hérode, qui ne voulut pas se convertir et changer de vie malgré l'avertissement qu'il avait reçu de la part du Saint-Esprit.
Après toutes ces choses, nous voyons un Hérode troublé par la prédication de Jésus. Il est persuadé que Jésus est en réalité Jean Baptiste ressuscité! Quelqu'un a dit un jour : "Hérode a eu peur que la mise à mort de Jean fasse élever une rébellion parmi le peuple, ce qui ne s’est pas produit; mais il n’a jamais craint que ce soit sa conscience qui se révolte contre lui, ce qui s’est produit." Sa conscience le trouble donc une fois de plus; on ne peut pas la fuir. Une conscience souillée et accusatrice est la preuve d'une condamnation future, s'il n'y a pas de repentance. N'attendons pas comme Hérode une danse de trop, un péché de trop. Voyez le surplus d'importance qu'il accorda à une simple danse, tout en emprisonnant et tuant un serviteur de Dieu qui ne l'avait averti que pour son propre salut! Si notre conscience nous reproche notre mauvaise conduite, repentons-nous immédiatement de nos péchés! Convertissons-nous! Venons, ou revenons à Jésus, ne faisons pas semblant de marcher avec Jésus tout en vivant dans le péché! Recherchons la vérité de Jésus comme notre plus grand trésor, marchons avec son Esprit, afin que son intelligence prenne la place de notre intelligence corrompue. Proverbes 2: 6-8 "Car l’Éternel donne la sagesse; de sa bouche sortent la connaissance et l’intelligence; Il tient en réserve le salut pour les hommes droits, un bouclier pour ceux qui marchent dans l’intégrité, en protégeant les sentiers de la justice et en gardant la voie de ses fidèles."
Que la gloire soit rendue à Dieu par Jésus-Christ notre Seigneur et Sauveur, Amen.
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