En 1
Corinthiens 11: 34; l'apôtre Paul dit: "Si quelqu'un a faim, qu'il
mange chez lui, afin que vous ne vous réunissiez pas pour attirer un
jugement sur vous."
Il est parfois demandé: Est-ce à dire que nous ne devons pas prendre le repas du Seigneur?
Non! Mais cela n'a qu'une valeur bien symbolique. Que vaut un repas pris en mémoire de ce que le Seigneur Jésus a fait pour nous si dans les faits, nous ne le considérons même pas comme notre Seigneur et Sauveur et que nous ne marchons pas en Lui, avec Lui? Ne nous cachons pas qu'il est de plus en plus courant dans l'église moderne de faire de bien belles professions de foi tout en tolérant le péché en nous. Du moins, certains péchés que nous ne voulons pas voir comme tels, et pourtant, se faisant, nous annulons toute l'œuvre de rédemption de Christ en nous car nous savons qu'Il ne peut pas cohabiter avec le péché! Nous ne pouvons pas demeurer dans une telle situation, et le Seigneur nous reprend, nous corrige. Nous devons être prêt à accepter cette correction et à changer ce que nous pouvons changer; et prier le Seigneur Jésus de transformer en nous ce que Lui seul peut transformer.
Pour bien comprendre et saisir la leçon de ce passage biblique de 1 Corinthiens 11: 34,
nous devons lire à partir du verset 17. En ce temps-là, les gens se
réunissaient pour prendre des repas, probablement en même temps que la
communion, qui consistait à prendre le pain et le jus de raisin en mémoire du sacrifice de
Jésus ainsi que par reconnaissance pour toutes ses bénédictions, mais un désordre s'y était peu à peu installé. La Bible nous met en garde
contre le fait de nous dénigrer les uns ou les autres. Il est probable que les plus démunis étaient laissés de côté lors de ces
repas, les plus aisés financièrement se repaissant et laissant des miettes
aux plus pauvres. Est-ce là la pensée du Seigneur? Tous ne sont-ils pas égaux?
Ce repas fraternel, qui devait commémorer le repas du Christ avec ses
disciples, là où le Seigneur Jésus avait pris le pain et dit: "Mangez,
ceci est mon corps." et la coupe, disant: "Buvez-en tous, ceci est
mon sang, le sang de l’alliance, qui est répandu pour plusieurs, pour la
rémission des péchés.", ce repas, donc, était devenu une place où
certains étalaient l'importance qu'ils pensaient avoir aux yeux de tous.
Ce
n'est pourtant pas dans cet état d'esprit que
devait être pris ce repas, mais plutôt avec humilité, comme Jésus
l'avait
enseigné à ses disciples. Mais où est l'humilité lorsque des divisions
sont
présentes entre les frères? Cela est en réalité un signe d'orgueil, un
signe
que les gens n'ont pas été régénérés dans une vie nouvelle par le sang
de
Jésus. Que servait il donc à ces gens de se réunir, soi-disant pour
prendre le
repas du Seigneur? Ils ne vivaient même pas en conformité de cœur et
d'esprit
avec l'enseignement de Jésus! En réalité, ils se présentaient à ces
réunions
avec l'idée de manger et de boire et de se glorifier eux-mêmes! C'est
pourquoi
Paul dira en 1 Corinthiens 11: 27: "celui qui mangera le pain ou
boira la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et
le
sang du Seigneur." Cet enseignement avait deux volets; celui de la bonne
conduite à avoir lors du repas, mais aussi une leçon spirituelle qui
persiste
jusqu'à nos jours; ne faisons jamais avec négligence l’œuvre de
l'Éternel et ne gardons pas pour nous ne serait-ce qu'une petite partie
de la gloire qui doit revenir à Dieu seul. C'est ce même Paul qui dira
en effet aux Philippiens:
"Rendez ma joie parfaite, ayant un même sentiment, un même amour, une
même
âme, une même pensée. Ne faites rien par esprit de parti ou par vaine
gloire,
mais que l’humilité vous fasse regarder les autres comme étant au-dessus
de
vous-mêmes." (Philippiens 2: 2)
Donc, lorsqu'il dira au verset 34 de 1 Corinthiens 11 : "Si quelqu'un a faim, qu'il mange chez lui, afin que vous ne vous réunissiez pas pour attirer un jugement sur vous", il nous enseigne à bien nous conduire, dans et hors de l'Église. Vivons en tout temps avec des pensées humbles, ne nous voyant pas supérieurs à personne. Jésus n'a lui-même pas cherché comme une proie à dévorer d'être l'égal de Dieu le Père, mais il s'est dépouillé de sa nature divine afin de revêtir un corps de serviteur comme le nôtre. Il s'est humilié, il ses soumis à la volonté du Père jusqu'à la croix. (Philippiens 2: 6-9) Vivons de la même manière, et prenons garde à ce que rien dans notre conduite ne nous condamne ou soit un objet de dispute entre frère. Plutôt, souvenons-nous par quel chemin est passé notre Seigneur Jésus-Christ, de quelle manière il a vécu et quel exemple il nous a laissé et, avec son aide, notre vie entière sera consacrée à rendre la gloire qui revient à Dieu seul; et ce, jusque dans les moindres aspects de nos vies. Restons sous la grâce de Dieu, et nous ne ferons pas profession de servir Dieu tout en tolérant du péché en nous!
Donc, lorsqu'il dira au verset 34 de 1 Corinthiens 11 : "Si quelqu'un a faim, qu'il mange chez lui, afin que vous ne vous réunissiez pas pour attirer un jugement sur vous", il nous enseigne à bien nous conduire, dans et hors de l'Église. Vivons en tout temps avec des pensées humbles, ne nous voyant pas supérieurs à personne. Jésus n'a lui-même pas cherché comme une proie à dévorer d'être l'égal de Dieu le Père, mais il s'est dépouillé de sa nature divine afin de revêtir un corps de serviteur comme le nôtre. Il s'est humilié, il ses soumis à la volonté du Père jusqu'à la croix. (Philippiens 2: 6-9) Vivons de la même manière, et prenons garde à ce que rien dans notre conduite ne nous condamne ou soit un objet de dispute entre frère. Plutôt, souvenons-nous par quel chemin est passé notre Seigneur Jésus-Christ, de quelle manière il a vécu et quel exemple il nous a laissé et, avec son aide, notre vie entière sera consacrée à rendre la gloire qui revient à Dieu seul; et ce, jusque dans les moindres aspects de nos vies. Restons sous la grâce de Dieu, et nous ne ferons pas profession de servir Dieu tout en tolérant du péché en nous!