jeudi 25 août 2011

Jésus, mon espérance

Seigneur Jésus, apprend-moi, montre-moi, j'ai tant besoin de ton aide. J'ai besoin de ta présence, que tu guides mes pas, par ton St-Esprit. Je ne connais pas l'avenir, et aussi, je le laisse entre tes mains. Ce qui m'importe, c'est le présent, c'est aujourd'hui. J'ai tant besoin de ta lumière, Jésus. Je sais bien que si je n'ai pas eu ton St-Esprit en moi lorsque tu me demandera compte au jour du jugement, tu ne me reconnaîtra pas comme l'un des tiens.

Mais je ne peux décider par moi-même, Jésus. Je suis soumis à la même règle que ton serviteur Paul. Je voudrais faire le bien que tu voudrais que je fasse, mais je suis seulement capable de faire le contraire. Je me rend bien compte que je ne pourrai y arriver par mes propres forces. J'ai besoin, ardemment, d'une force supérieure à la mienne. Je n'ai d'ailleurs pas de force. Je suis faible et fou. Mais mon plus grand désir, Jésus, c'est d'être capable de dire comme l'apôtre Paul: Dieu soit loué, par Jésus-Christ, je suis libre. Je suis libéré de cette nature humaine qui régnait en moi!

C'est pourquoi, en ce jour, je viens m'agenouiller devant toi, car c'est seulement par ton sacrifice sur la croix, par ta mort et ta résurrection que je peux avoir part à cette libération. Il n'y a pas d'autres solutions. Il n'y a pas d'autres chemins. C'est par toi seul, Jésus, que je peux avancer. C'est ce que je fais, encore tout tremblant, ma foi étant tellement inexistante! Que donnerais-je pour qu'elle devienne de la grosseur d'un grain de moutarde!

Mais je suis vivant, Jésus! Je suis encore vivant! Je profite donc de cette chance unique que tu me prête encore aujourd'hui pour m'approcher de toi, car je ne serai jamais trop près de toi! Je m'accroche à l'espérance que j'ai en toi, que tu ne prend pas plaisir à la perte du pécheur. Que tu es miséricordieux et patient et que tu n'afflige pas le roseau courbé, mais plutôt, que tu le soutiens, afin qu'il ne plie pas d'avantage sous le poids de la vie présente. Oh Jésus, je m'accroche à toi aujourd'hui, car plus que jamais, j'ai besoin de toi, dans ces temps si troubles. Le ciel et la terre disparaîtront, mais tes paroles, elles, ne disparaîtront jamais. Quelle promesse! C'est par la puissance de ces paroles que je suis guéri, restauré; c'est pourquoi je te loue, Jésus, je t'aime et je t'adore comme mon seul et unique Dieu. Mon guérisseur et rédempteur personnel! Qu'elle merveille de savoir que tu as déjà payé pour la rédemption de mes péchés et désobéissance. Comment te remercierais-je assez? Jamais mes simples merci ne suffiront, c'est pourquoi je suis à tes pieds; un serviteur à l'écoute de son maître. Je te suivrai, j'irai où tu voudras, quand tu le voudras, et je sais que si je suis dans ta main, rien ne pourra jamais me séparer de toi.

Que l'honneur te soit rendu, toi qui a été élevé dans la gloire éternelle par le Père. Oui, de la mort tu es ressuscité, et vivant tu étais, tu es et tu seras à jamais. Et c'est en toi que j'ai placé toute ma confiance, toute mon espérance, afin d'avoir part, moi aussi, à ces réjouissances célestes en compagnie du Père, du Fils et du St-Esprit, de chanter ta louange et ta gloire avec tes anges et tous ceux qui auront cru.

Merci, Père Éternel, de cette espérance nouvelle que tu places en moi, merci de renouveler complètement mon intelligence, par ton Esprit. Et surtout, grand Dieu, merci, merci de me laisser la possibilité de t'adorer, de te servir. Merci Esprit de sagesse et de puissance, merci mon Dieu, Merci.

samedi 20 août 2011

Résistez au diable, et il fuira loin de vous


Jacques 4 :7 Soumettez-vous donc à Dieu, résistez au diable, et il fuira loin de vous.


La Bible nous enseigne qu’il est possible pour les chrétiens de résister au diable, et à la tentation, pourvu que nous soyons soumis à Dieu.


Malgré tout notre bon vouloir, nous ne pourrons jamais résister au diable par nos propres forces. Notre force, nous la trouvons en Christ, lorsque, à genoux, nous entrons en communion avec Lui par la prière. Lorsque nous marchons avec Lui, et lorsque la Parole de Dieu, ses préceptes et ses commandements sont pour nous un délice, nous sommes fortifiés spirituellement, et c’est ainsi que nous saisissons sur nous les armes du chrétien, ces armes qui nous permettent de résister aux assauts de l’ennemi. Ces armes sont celles dont l’apôtre Paul fait mention dans Éphésiens 6 :10-18. Et aussi, dira l’apôtre, faites en tout temps par l’Esprit toutes sortes de prières et de supplications, dans une entière persévérance, tout en n’oubliant surtout pas de prier pour les autres membres du peuple de Dieu, qui ont à passer par les mêmes épreuves et les mêmes souffrances que nous. L’apôtre Pierre nous exhortera aussi, dans 1 Pierre 5 :8-9, à rester sobre et à veiller, car notre adversaire le diable rôde et cherche une proie à dévorer. Résistez-lui avec une foi ferme, dira-t-il, sachant que les mêmes souffrances sont imposées à vos frères dans le monde.


En lisant ces paroles fortifiantes, il nous est impossible de rester insensible et de ne pas nous sentir vivifié dans notre foi. Quelle joie de savoir que nous pouvons résister, et même plus, que, par notre communion avec Jésus-Christ, nous sommes vainqueur sur le diable et sur tout ce qu’il pourra envoyer contre nous! Que n’a-t-il pas tenté contre Job? Et Job, le grand homme de foi, véritable serviteur de Dieu, a toujours béni le nom de l’Éternel son Dieu malgré ses épreuves! Job n’a pas résisté aux assauts du diable par ses propres forces, mais il a vaincu parce qu’il était fidèle et soumit à Dieu, et qu’ainsi, Dieu combattait à ses côtés.


Demeurons donc fermes et inébranlables, persévérons dans ce que nous savons être la droiture et la justice de Dieu, soyons fidèles dans l’obéissance et la soumission à sa Parole, prions en toute occasion notre Seigneur qui est dans les cieux. Jésus dira d’ailleurs à ses disciples, quelques minutes avant d’être arrêté : Veillez et priez, car l’esprit est bien disposé, mais la chair est faible. Persévérons, ne nous lassons pas de faire le bien. Apocalypse 3 :10-11 : Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l’heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre. Je viens bientôt. Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne.


Bénissons l’Éternel! Rendons gloire à notre Seigneur Jésus-Christ! Louons-le! Acclamons-le! Remercions le, car Il est bon! Il est notre force, il est notre appui, il est notre Rocher ferme et inébranlable! Merci Seigneur Jésus, car lorsque nous restons sous ta protection, nous sommes plus que vainqueur! Nous trouvons dans les Écritures que Dieu ne permettra pas que nous soyons tenté au delà de nos forces, mais qu’avec la tentation, viendra aussi le moyen d’en sortir. Seigneur Dieu, quel encouragement de savoir que si nous restons fidèles à marcher dans tes voies, tu ne nous abandonnera jamais! Même si nous ne méritons rien, nous nous approprions cette promesse, car elle est vraie. Merci Seigneur Jésus! Merci!



Sachant que la victoire sur le péché nous a déjà été donnée par le sacrifice du Christ sur la croix, s’il arrive que nous trébuchions, posons-nous la question : Pourquoi, et comment ais-je désobéi à la Parole et ais-je péché contre Dieu, si ce n’est parce que, pour un moment, je ne me suis plus soucié de me soumettre à Lui ? Peut-être ne s’agissait-il que d’un moment de faiblesse, mais rappelons-nous qu’une seule désobéissance peut nous conduire à la ruine spirituelle. Souvenons-nous d’Adam et Ève. Ils n’ont pas eu à désobéir plusieurs fois; une seule désobéissance à un commandement de Dieu leur a suffit pour faire entrer le péché dans le monde, et ainsi faire en sorte que nous soyons tous voués à la perdition si nous n’acceptons pas le sacrifice du Christ dans nos vies.


Cependant, nous avons un espoir, car, même si, à cause de cette seule désobéissance de nos premiers parents, nous sommes tous par notre nature même des pécheurs, soumis à la tentation et à loi du péché, l’entière obéissance de Jésus envers le Père nous libère de cette loi du péché qui règne en nous. C’est pourquoi, si nous avons accepté Jésus comme notre Seigneur et Sauveur personnel, et que nous déclarons que nous appartenons à Dieu, nous devons vivre comme Christ a vécu! Jésus n’a pas été pour nous un exemple de faiblesse vis à vis du péché. Au contraire! Il nous a montré, tout au long de sa vie, comment être vainqueur de la chair, des tentations et du péché! C’est la raison pour laquelle 1 Jean 2 :6 nous enseigne que celui qui déclare être uni à Dieu doit vivre comme Jésus a vécu. Lorsque nous déclarons être un enfant de Dieu, nous ne devons plus retourner vers notre ancienne nature pécheresse et vivre à la manière du monde, ne serais-ce que pour un instant, car, à ce moment-là, nous attristerions le Saint-Esprit qui est en nous, et le diable lui-même ne serait pas coupable de nos désobéissances! Car, le diable ne peut pas faire tomber dans le péché un enfant de Dieu! Le seul pouvoir qu’il possède, c’est de nous tenter, comme il a tenté Jésus. Mais si nous ne suivons pas l’exemple du Christ, et que nous ouvrons la porte de notre coeur à toutes sortes de mauvaises pensées et de mauvais désirs, et en cédant aux tentations qui viennent ensuite, soyons assurés que l’ennemi trouvera en nous un endroit où il lui fera bon vivre.


Ce n’est pas ce que nous désirons.


Ne cédons donc pas aux tentations du malin! Résistons! Il est bon de nous rappeler que le péché n’a plus de pouvoir sur celui qui a été racheté et lavé de ses péchés par le sang de Jésus. Nous devons pouvoir proclamer comme l’apôtre Paul dans sa première lettre aux Corinthiens, au verset 55 du quinzième chapitre : Ô mort, où est ta victoire? Ô mort, où est ton aiguillon?


Toutefois, si, par négligence, il est arrivé que nous tombions, ne restons pas dans la boue du péché, et ne nous condamnons pas nous mêmes à la perdition éternelle! Repentons-nous plutôt de tous nos péchés, reconnaissons l’état dans lequel nous nous trouvons, et revenons vers notre Seigneur avec humilité. Jacques 4 :8-9 : Approchez-vous de Dieu, et il s’approchera de vous. Nettoyez vos mains, pécheurs; purifiez vos coeurs, hommes irrésolus. Sentez votre misère; soyez dans le deuil et dans les larmes; que votre rire se change en deuil, et votre joie en tristesse. Humiliez-vous devant le Seigneur, et il vous élèvera.


Osée 14 : 1-2  : Israël, reviens à l’Éternel, ton Dieu, car tu es tombé par ton iniquité. Apportez avec vous des paroles, et revenez à l’Éternel. Dites lui : Pardonne toutes les iniquités, et reçois nous favorablement. Nous t’offrirons, au lieu de taureaux, l’hommage de nos lèvres.  


Si nous reconnaissons que nous avons désobéi et que nous avons péché, prions :

Seigneur Jésus, je reviens vers toi, tel que je suis. Je n’ai rien à ajouter, rien à enlever, car rien ne t’est caché. Je te supplie, pardonne mes iniquités, et reçois favorablement les supplications de mon coeur, car j’ai péché. J’ai pensé connaître la paix et le bonheur en suivant les penchants de mon coeur, mais je me suis trompé amèrement. Je me suis éloigné de toi, je me suis retiré moi-même de sous ta protection, en ne me souciant plus de me soumettre à tous tes commandements. J’ai voulu oublier que sans Toi, je ne peux rien faire! Je te supplie, grand Dieu, ne m’abandonne pas aux penchants de mon coeur, car je serais perdu. Par moi-même, je ne sais pas discerner le bien du mal. Aussi, je reviens à toi, Père Éternel, te suppliant de faire le ménage en moi. Purifie moi! Lave moi! Comme Jésus, je pourrai ensuite te dire, et ce sera vrai; accomplis en moi, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux. Merci, Grand Dieu, parce que je sais que désormais, si je reste fidèle à obéir à tes commandements, tu resteras à mes côtés et tu me donneras la force nécessaire pour combattre le bon combat de la foi jusqu’à mon dernier soupir. C’est dans le précieux nom de Jésus que je prie, Amen.  

jeudi 11 août 2011

La brebis égarée


Esaïe 53 :6 : "Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait sa propre voie."
Jean 10 :16 :  "J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cette bergerie; celles-là, il faut que je les amène; elles entendront ma voix, et il y aura un seul troupeau, un seul berger."


Un jour, Dieu regarda par la fenêtre de son palais royal, voir si les pièces de sa création étaient bien en place. Ses yeux s’arrêtèrent sur notre terre. Dieu dit : "Je vais me promener dans mon jardin." Dans ce jardin, il y a un enclos, où ses brebis paissent dans la joie et la paix. Il fît le compte de ses brebis, et après les avoir comptées, il fût désolé, il en manquait une.

C’était la brebis téméraire qui manquait. Elle se voyait intrépide, elle courait à l’aventure sans s’arrêter, étant satisfaite de sa liberté, elle voyait un seul sentier; celui de se plaire. Elle était toujours à la recherche d’un autre bonheur, pour mieux se satisfaire. Pour sa convoitise, elle ne redoutait rien. Elle se moquait bien des brebis qui se trouvaient dans le jardin de Dieu. Elle se disait : "Elles sont esclaves, elles ne connaissent pas la liberté." Elle les trouvaient misérables. Ne s’arrêtant pour rien, elle entendait bien une voix au loin qui disait : Une brebis manque dans l’enclos ! Elle se moquait bien de cette voix et ne répondait pas. Elle montait et descendait les collines. Elle cherchait toujours un sentier; celui de la satisfaction accomplie. Elle regardait vers le ciel, elle se riait des nuages, elle se dit en elle-même : "J’ai assez ici sur terre pour me satisfaire, je n’ai qu’à me réjouir de ce que mes yeux voient, je n’ai pas à chercher plus haut, c’est trop loin et inconnu."

Les jours passèrent ainsi, de temps à autre, elle se reposait sur son bonheur. Une chose très importante lui échappait; le bonheur sur terre est éphémère, il ne dure que peu de temps.

Un jour, elle s’arrêta. Elle réfléchit sur la voie qu’elle suivait et elle se dit : "Je ne sais plus où je suis, je crois que je suis perdue, égarée." Elle continua de marcher sans savoir où elle allait, sans s’inquiéter jusqu’au jour où elle reconnu qu’elle s’était fait une blessure à un pied; elle avait peine à marcher. Elle s’engagea dans un sous-bois, elle fut contrainte de manger les feuilles des ronciers. Les épines lui causèrent beaucoup de blessures, elle vit qu’elle perdait du sang, et elle commença de s’inquiéter vivement. Elle lançait des bêlements d’un côté et de l’autre, mais seul l’écho de sa voix lui répondait. C’était le silence total. Elle se dit : "Allons! Plus fort, peut-être quelqu’un m’entendra." Seul l’écho lui répondait... Le silence devint lourd et l’inquiétude l’envahi. Elle réfléchit sur la liberté qu’elle croyait avoir, elle comprit que son bonheur était éphémère, et aussi s’adressait-elle de sévères reproches.  "Pourquoi n’ais-je pas répondu à la voix que j’entendais? Maintenant, elle n’est plus! C’est un douloureux silence, je suis ici perdue, l’espérance n’est plus, j’ai faim et soif, mais rien ne se trouve à ma portée. L’espoir d’être retrouvée s’est éloigné de moi..." D’une voix plus forte, elle essaye de crier encore, mais seul l’écho lui répond.  Aussi se dit-elle encore : "Je suis perdue. Personne ne passe par ici, où suis-je? Je dois me ressaisir, mais je n’ai plus de force et mes blessures me font si mal, elles sont insupportables. Les jours que j’ai laissé derrière moi n’ont servis qu’à me tromper, ce sont des souvenirs amers. Mon coeur se remplit de tristesse et mon âme d’amertume. Je suis si loin du sentier que je devrais suivre, personne ne me trouvera. Il ne me reste qu’une seule solution, celle que je ne veux pas voir : le désespoir. Cette douleur qui dépasse toutes mes blessures. Je suis donc engagé sur le chemin qui conduit au crépuscule et à la nuit des temps. Plus je regarde mon passé, plus il me fait mal, mais, hélas, il est trop tard. C’est devenu insupportable. Je ne verrai plus le soleil de l’aurore briller sur les jours. Je suis confuse et j’ai perdue la raison. Je ne veux plus regarder le passé, je le hais trop et il me fait mal. Je me suis égarée si loin que, pour moi, tout se consume en ce jour." Totalement épuisée, elle se dit :  "Je vais essayer de quitter ce monde dans un profond sommeil."

Ce qu’elle ne savait pas; un homme la cherchait. Un homme plein de compassion et de douceur, rempli de pitié et d’amour.

Pendant que la brebis blessée était à son dernier repos, l’homme qui la cherchait la vit de loin, et il s’en approcha. Il eut pour elle une si grande pitié; il la retira des épines, il la prit sur ses épaules et s’engagea sur le sentier du retour. La brebis était tellement affaiblie qu’elle était inconsciente de ce qui lui arrivait. Elle s’éveilla de son sommeil, sans remarquer qu’elle était sur les épaules d’un homme. Elle regardait et cherchait partout, si quelqu’un ne la verrait et l’entendrait pas, lorsque soudain, elle réfléchit; elle se rendit compte que quelqu’un la portait. D’une voix faible, elle lui demanda :  "Je ne te connais pas, qui es-tu? D’où viens-tu? Et où veux-tu me conduire?" L’homme lui répondit : "Je suis le bon Berger. " – Il marche encore... –  "Je suis celui qui va panser tes blessures, et sache que la joie est grande en moi d’avoir trouvé ma brebis perdue. Aujourd’hui même, je guéris tes meurtrissures et je te ramène à l’enclos, avec toutes celles qui m’appartiennent. La voix que tu entendais au loin, c’était moi qui t’appelait. Écoute, et entend les voix au loin, tous, ils chantent un cantique de louange, de gloire et d’honneur à celui qui te porte sur ses épaules. Écoute, et regarde comme leur joie est grande; ils crient leur joie, ils se réjouissent de toutes leurs forces de voir revenir le Maître avec la brebis perdue." Le Maître la mit par terre, il lui donna de l’eau vive, il lui donna également une nourriture sainte. Il guérit toutes ses blessures, il la mit dans son enclos et elle se mit à chanter elle aussi avec toutes les autres un chant de reconnaissance et de gloire. Elles ont reconnues la puissance et l’autorité du Maître Suprême, du Berger parfait, du Porteur rempli de pitié et de bonté. Il mit en elles une véritable joie, et leur accorda la vraie paix.


Et moi, je désire encore plus fort crier à Dieu ma joie dans une plénitude de reconnaissance et, avec tous les élus, je chante l’honneur, la louange et la gloire que je rend à mon Dieu aujourd’hui. À Dieu et à Jésus-Christ la louange, la gloire et l’honneur pour toutes ces merveilles accomplies que je reconnais aujourd’hui de mes yeux, et que je touche de mes mains. Grand et puissant Dieu, moi j’étais perdu dans toute la folie humaine, mais toi, Tu savais où j’étais. Ta patience m’invitais sans cesse à revenir vers toi, mais je m’étais rendu incapable de comprendre et d’entendre ta voix. Merci Jésus, tu étais à la porte de mon coeur et tu frappais, mais la poignée se trouvant au dedans, tu ne pouvais l’ouvrir. C’est moi qui l’ouvre aujourd’hui toute grande cette porte à la connaissance de ta Parole, à la puissance de ton autorité. Je te laisse le plein contrôle sur l’être que je suis. Merci Seigneur Jésus-Christ de ce précieux secours, de me tendre la main. Je crois que tu es vivant et que Dieu vit à jamais. Merci précieux Saint-Esprit d’avoir placé dans mon coeur la joie de Dieu, cette joie qui rempli mon coeur quand je me tourne vers ta miséricorde et ta pitié. Je trouve dans la Parole de Jésus tout ce qui m’est nécessaire pour vivre la volonté de mon Dieu. Gloire à Dieu et à Jésus-Christ, gloire au Saint-Esprit. C’est Dieu seul que je crains, et c’est à Dieu seul que je rends l’honneur, la louange et la gloire. Amen.

vendredi 5 août 2011

Le divorce dans l'Église - Dernière partie

Dieu a formé la famille comme étant composée d'un mari, d'une épouse et de leurs enfants, tous s'aimant les uns les autres d'un amour sincère, d’un amour comme Christ le donne. (Éphésiens 5:22-33 et Colossiens 3:18-21 ) Le mari doit refléter l'image du Christ, dans toute sa conduite. Cela signifie de vivre une vie sainte, pleine de droiture, exempte de souillure, de ne pas regarder les autres femmes et les désirer dans son cœur, encore moins d’aller vers elles! ( Matthieu 5:28 et 1 Thessaloniciens 4:4-8 )

Pour l'homme marié, dans son cœur, c'est son épouse qui doit être la plus belle. La plus intelligente. La plus aimable. Elle doit être pour lui un don, un cadeau de Dieu qu'il doit chérir jusqu'à son dernier souffle. Il doit être un homme de prière, il doit demander conseil à Dieu en toute chose. Un homme ne pourra jamais être un bon guide pour sa famille par ses propres forces. Il doit lire sa Bible. Pas parce qu'il s'y sent obligé, mais parce qu'il a un zèle sincère dans son cœur, non seulement pour sa propre vie spirituelle, mais aussi pour celle de sa famille. C’est ainsi que le mari pourra refléter la gloire de Dieu à l’œuvre dans sa vie de tous les jours. N'oublions pas que la lecture de la Bible doublée d'une maitrise de soi à toute épreuve est le fondement même d'une bonne conduite. Que l’épouse respecte son mari, qu’elle prenne exemple sur les femmes de foi de la Bible. Que les époux se pardonnent mutuellement, comme Christ nous a pardonné. Que les couples passent du temps ensemble devant le Seigneur, plutôt que devant la télévision! Qu'ils demandent à Dieu de les rendre capable de se voir, avec Ses yeux, et avec Son intelligence, afin qu’ils puissent se reconnaitre tels qu’ils sont et que, jamais, ils ne rejettent le blâme sur l’un ou sur l’autre. Plutôt, que leur amour s’affermisse dans une mutuelle compréhension. Que chacun recherche d’abord l’humilité, qu’il/elle puisse dire à l’autre; "si je fais quelque chose qui ne te plaît pas, dis le moi, je le corrigerai, car, je ne vis pas pour moi et pour me plaire, mais pour te plaire, puisque je ne m’appartiens pas, je t’appartiens".

Prions.

Seigneur Dieu tout-puissant, nous te bénissons, nous te bénissons pour ta parole, pour ta sagesse et pour ton Esprit. Nous reconnaissons à quel point nous avons besoin de toi. Nous avons besoin de ta lumière, dans ces jours de grande noirceur. Nous te prions de ne jamais nous laisser succomber à la tentation de vivre selon nos pensées et désirs, mais accorde-nous plutôt de vivre selon ta sainte volonté. Oui, soit notre guide, Père Éternel, sois notre guide, dans nos vie, mais aussi dans celles de nos familles. Sois le fondement solide sur lequel chaque mariage repose, afin que le mal ne s'introduise pas parmi nous. Que notre amour grandisse toujours plus dans ton amour, afin que notre foyer soit à l’image d’une famille qui appartient à Dieu. Nous savons que le malin enverra contre nous toutes sortes de tentations, mais nous savons aussi que si nous tenons ferme en toi, que si nous gardons ta Parole dans nos cœurs, nous vaincrons avec, et par toi, car tu as déjà vaincu le monde. Nous te prions, grand Roi, pour tous ceux qui traversent des temps difficiles dans leur mariage. Nous te supplions, donne-leur la sagesse et l’intelligence dont ils ont besoin pour résister et tenir ferme dans la vérité, afin que leur famille ne succombe pas aux attaques de l’ennemi. Donne le courage et la force de pardonner à ceux qui ont à le faire, comme tu nous as toi-même pardonné. Nous te prions aussi, Seigneur Jésus-Christ, pour tous les pasteurs dans le monde. Oui, nous te prions pour tous ceux qui ont cette responsabilité de prendre soin de tes enfants dans la foi. Nous te prions que tu affermisses leur mariage légitime, de les diriger dans toutes tes voies, afin qu'ils soient de bons guides pour leur famille, de sorte qu'ils seront aussi des guides irréprochables pour l'assemblée des croyants. Grand Dieu, que ton Nom soit béni, que ton Nom soit loué, non seulement par nos cantiques et nos chants, mais par toutes sortes d'œuvres bonnes que tu nous donneras d'accomplir par ton Esprit, dans l’obéissance pleine et entière de toute ta Parole. Merci Dieu, merci Jésus, merci Saint-Esprit. Amen.

Le divorce dans l'Église - Deuxième partie

Maintenant, examinons quelques raisonnements de gens à la conscience faussée, qui tentent, au moyen de la Bible, de justifier leur péché.

Un jour, un pasteur qui venait de divorcer... et de se remarier avec une autre femme, dit : "Ne me jugez pas. Vous savez, Dieu lui-même a divorcé. Car, le seul moment dans la Bible où l'on voit une personne engager des procédures de divorce avec quelqu'un d'autre, c'est lorsque Dieu a répudié son peuple, Israël".

Ne le jugeons pas. Mais répondons ceci à ceux qui pensent comme lui : Ne savez-vous pas que Dieu, par la bouche de plusieurs de ses prophètes, s'est réconcilié avec son peuple? Si Dieu s'est réconcilié avec son peuple, même après que ce dernier l'ait rejeté et ait commit l’adultère avec de faux dieux, à bien plus forte raison nous, pauvres pécheurs, devrions-nous avoir en tête la réconciliation, plutôt que la séparation et le divorce! Cessons-donc de croire que le divorce est une solution! Même si des problèmes surviennent dans notre couple, vivons d’abord avec le principe que le divorce n'est pas une option envisageable, puisque interdite par Dieu, à moins de motif extraordinaire. Plusieurs facteurs conduisent des gens à penser au divorce, mais si nous étions des chrétiens engagés et que nous restions fidèles aux Écritures, tous ces facteurs s’élimineraient d’eux-mêmes. Par exemple, si tous les gens mariés maîtrisaient leurs yeux, leurs désirs ne se porteraient jamais sur quelqu’un d’autre, donc, ils n’en viendraient jamais à commettre d’adultère! Et si tous cessaient d’avoir une trop haute opinion d’eux-mêmes, ils accepteraient le fait qu’ils ne s’appartiennent plus, mais qu’ils appartiennent à leur époux, ou épouse, et que, par le fait même, qu’ils ne doivent pas vivre pour se plaire à eux-mêmes, mais plutôt pour plaire à Dieu et à leur bien-aimé(e). Et ainsi de suite…
Restons fidèles aux enseignements des Écritures, dans toute notre conduite, et nous verrons notre mariage être béni par Dieu.

Certains disent; "Vous savez, moi, j'ai eu une aventure extraconjugale, et, si je veux être en règle avec Dieu, je dois épouser la personne avec qui j'ai trompé mon épouse, ou mon époux".
Non! Vous ne réglez rien du tout! Et vous n’êtes surtout pas en règle avec Dieu en agissant de cette manière! Nous l'avons vu précédemment dans 1 Corinthiens 7:10-11 : "À ceux qui sont mariés, j'ordonne, non pas moi, mais le Seigneur, que la femme ne se sépare point de son mari (si elle est séparée, qu'elle demeure sans se marier ou qu'elle se réconcilie avec son mari), et que le mari ne répudie point sa femme. Jésus nous enseigne dans Matthieu 19:9 : "Mais je vous dis que celui qui répudie sa femme, sauf pour infidélité, et qui en épouse une autre, commet un adultère". Si c'est toi qui as eu une aventure extraconjugale, ce n'est pas ton épouse qui a été infidèle. Alors ce n'est pas à toi de la répudier et te marier quelques mois plus tard avec une autre, et penser ensuite que ton péché est effacé! Tu ne fais que continuer de commettre l'adultère! Romains 7:2-3 : " Ainsi, une femme mariée est liée par la loi à son mari tant qu’il est vivant; mais si le mari meurt, elle est dégagée de la loi qui la liait à son mari. Si donc, du vivant de son mari, elle devient la femme d’un autre homme, elle sera appelée adultère; mais si le mari meurt, elle est affranchie de la loi, de sorte qu’elle n’est point adultère en devenant la femme d’un autre".

Un autre encore déclara, après avoir commis l'adultère, s'être divorcé et remarié ensuite, qu'il avait simplement agit comme le roi David l'avait fait. "J'ai pris exemple sur David. Après avoir commis l'adultère avec Bath-Schéba, il l'a prise comme épouse, et s'est repenti devant Dieu. J'ai fait la même chose".
D'accord. Mais ce n'est, si l'on peut dire, que la partie la plus "facile" de l'histoire. Elle ne justifie en rien ce péché. Souvenons-nous que la gravité du péché dans ce temps-là n'était pas la même qu'aujourd'hui, alors que l’Esprit de Dieu n’avait pas été répandu sur toute chair comme il l’est présentement depuis la venue de Jésus-Christ. Nous sommes donc plus coupable encore aujourd’hui si nous agissons de la même manière que les gens de cette époque. Jésus parle dans Mattieu 11: 20-24 de l’incrédulité des gens de son temps, qui ont vu les miracles et les signes merveilleux qu’il accomplissait parmi eux, sans qu’ils ne se repentent, et à quel point, à cause de cela, ils seraient jugés plus sévèrement que les gens de Sodome, ainsi que ceux de Tyr et de Sidon. Donc, si nous voulons prendre exemple sur David, faisons-le, mais prenons toute son histoire au complet. Il y aura toujours des conséquences au péché. Proverbes 6:27-29 : "Quelqu’un mettra-t-il du feu dans son sein, sans que ses vêtements s’enflamment? Quelqu’un marchera-t-il sur des charbons ardents, sans que ses pieds soient brûlés? Il en est de même pour celui qui va vers la femme de son prochain: quiconque la touche ne restera pas impuni". Après la mauvaise conduite de David, le prophète Nathan est allé le voir. Il lui a demandé: "Pourquoi, as-tu méprisé la Parole de l'Éternel en faisant ce qui est mal à ses yeux"? Dans 2 Samuel 12:10-11, nous lisons la suite : "Maintenant, l’épée ne s’éloignera jamais de ta maison, parce que tu m’as méprisé, et parce que tu as pris la femme d’Urie, le Héthien, pour en faire ta femme. Ainsi parle l’Eternel: Voici, je vais faire sortir de ta maison le malheur contre toi, et je vais prendre sous tes yeux tes propres femmes pour les donner à un autre, qui couchera avec elles à la vue de ce soleil." Oui, David s'est repenti. Oui, David est revenu à Dieu. Mais jusqu'à sa mort, l'épée ne s'est plus jamais détournée de sa maison. Un de ses fils, Amnon, a commis un inceste. Un autre de ses fils, Absalom, l'a assassiné et a ensuite levé une armée contre son père. Et ainsi de suite. David ne connu plus jamais la paix dans sa maison, jusqu'au jour de sa mort.
À l’image des enfants de David, les psychologues constatent aujourd’hui les conséquences de vivre dans des familles dysfonctionnelles sur la vie des enfants qui en sont victimes. Tristesse. Insécurité. Solitude. Troubles de comportements. Agressivité. Culpabilité. Fugues. Suicides.
Au jour du jugement, Dieu demandera à tous ces mauvais parents – de plus en plus nombreux - de rendre compte de ce gâchis. Espérons pour eux qu’ils se seront repentis de leur mauvaise conduite avant de comparaître devant le juste Juge...
Nous devrions savoir depuis longtemps que, lorsque l'exemple de David a été mit par écrit dans la Bible, ce n'est pas pour que nous fassions la même chose. Au contraire! Cela devrait nous prévenir du malheur qui risque de s'abattre sur nous et notre famille, si nous faisons ce qui est mal aux yeux de notre Créateur. Dieu ne veut pas nous voir vivre une vie de misère et de péché. À plus forte raison ne veut-il pas voir non plus nos enfants être victimes de la méchanceté des hommes et des femmes qui ne prennent pas au sérieux ses avertissements! Ne soyons pas un objet de scandale pour nos enfants, et pour les autres membres de l’Église du Christ. Matthieu 18 :6-7 : "Mais, si quelqu’un scandalisait un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu’on suspendît à son cou une meule de moulin, et qu’on le jetât au fond de la mer. Malheur au monde à cause des scandales! Car il est nécessaire qu’il arrive des scandales; mais malheur à l’homme par qui le scandale arrive!"

D’autre encore excusent leur mauvaise conduite en prenant appui sur ce que l'apôtre Paul a écrit dans Romains 7:19-21 : "Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n’est plus moi qui le fais, c’est le péché qui habite en moi. Je trouve donc en moi cette loi: quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi".

Attention! Ne sortons pas ce passage hors de son contexte afin de pouvoir l’utiliser comme une excuse pour continuer de mal agir, tout en se disant chrétien et croire que nous seront sauvés de toute façon. Lisons ce qui est écrit par la suite, aux versets 24 et 25 : "Misérable que je suis! Qui me délivrera du corps de cette mort?... Grâces soient rendues à Dieu; par Jésus-Christ notre Seigneur!... Ainsi donc, moi-même, je suis par l’entendement esclave de la loi de Dieu, et je suis par la chair esclave de la loi du péché". Mais, par Jésus-Christ, nous sommes libérés de cet esclavage du péché ( Romains 8:1-2 ), de l’esclavage de la chair qui nous pousse à la satisfaction de toutes nos pensées et désirs qui nous font faire ce qui est mal aux yeux de Dieu. Parce que Jésus-Christ, Dieu devenu chair comme nous tous, a été tenté tout comme nous, mais contrairement à nous, il ne s'est jamais laissé vaincre par la tentation. Jésus-Christ n'est jamais devenu l'esclave de sa chair et de ses tentations. Au contraire, il nous a montré comment les vaincre. Il a été fidèle jusqu'au bout dans l’obéissance aux commandements de l’Éternel. Jusqu'à ce que le Père le rappelle auprès de lui. Et si réellement nous avons accepté Christ, comme nous le prétendons, il n'y a plus de place pour le péché volontaire dans notre vie.

Il y a aussi l'exemple de l'histoire de la femme adultère dans Jean 8...

Combien de chrétiens se comparent à elle lorsqu'il est question de se défendre de leur vie impure et immorale! Pourtant, cette femme adultère avait péché avant de connaître Christ, avant de recevoir son pardon. Pas après. Ici, c'est un ordre du Christ, ces paroles profondes devraient nous faire frémir. Allons lire ce qu'il dit à la femme adultère, dans Jean 8:11"(...) Je ne te condamne pas non plus. Va, et ne pèche plus". C'est à dire, ne recommence pas. Car une fois que nous avons reçu le pardon de Dieu pour nos offenses, - et ceci ne s'applique pas seulement aux cas de divorces, mais à toute forme de péché - nous ne devons pas retourner dans une vie mauvaise. Laissons les Écritures nous éclairer à ce sujet.
Hébreux 6:4-6 : "Car il est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés, qui ont goûté le don céleste, qui ont eu part au Saint-Esprit, qui ont goûté la bonne parole de Dieu et les puissances du siècle à venir, et qui sont tombés, soient encore renouvelés et amenés à la repentance, puisqu’ils crucifient pour leur part le Fils de Dieu et l’exposent à l’ignominie". Hébreux 10:26-29 : "Car, si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés, mais une attente terrible du jugement et l’ardeur d’un feu qui dévorera les rebelles. Celui qui a violé la loi de Moïse meurt sans miséricorde, sur la déposition de deux ou de trois témoins; de quel pire châtiment pensez-vous que sera jugé digne celui qui aura foulé aux pieds le Fils de Dieu, qui aura tenu pour profane le sang de l’alliance, par lequel il a été sanctifié, et qui aura outragé l’Esprit de la grâce? " Il est question ici du péché mentionné par Jésus dans Matthieu 12:31 : " C’est pourquoi je vous dis: Tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes, mais le blasphème contre l‘Esprit ne sera point pardonné".

Faisons très attention à notre conduite. Nous avançons sur un terrain dangereux. Si nous n'avançons pas avec l'Esprit de Dieu, il sera d'autant plus facile de nous tromper nous-mêmes! Le plus grand piège du diable est de tenter de nous faire croire que le péché que nous faisons, ou qu’il voudrait nous voir faire, n'est pas aussi péché qu'il semble l’être. Exactement comme il a réussi à convaincre Ève, concernant l’arbre de la connaissance du bien et du mal.

Ne cherchons pas différents versets de la Bible pour justifier notre mauvaise conduite. Au contraire, repentons-nous! Car, lorsque nous aurons à rendre compte de nos actions, à la fin de notre séjour sur cette Terre, aucune excuse ne sera valable devant notre juge Suprême. Aucune. (Jean 15:22)