dimanche 11 novembre 2018

Au coeur du combat

(...)rejetons tout fardeau, et le péché qui nous enveloppe si facilement(...) Hébreux 12:1.

L'historien Shelby Foote raconte l'histoire d'un soldat qui fut blessé à la bataille de Shiloh pendant la Guerre de Sécession et à qui on ordonna d'aller à l'arrière-garde. La lutte était féroce et quelques minutes plus tard il alla trouver son supérieur en disant: "Capitaine, donnez-moi un fusil! Il n'y a pas d'arrière-garde!"

Avez-vous déjà ressenti cela comme chrétien: être pressé de tous côtés? Vous voulez rester fidèle à Christ, mais vous sentez constamment l'attraction du monde du dehors et l'appel presque irrésistible de la tendance à pécher du dedans. On dirait qu'il n'y a pas d'arrière-garde, pas de fin à la lutte.

Dans Hébreux 12:1, le mot grec qui est traduit par "enveloppe" se rapporte au fait d'être environné ou oppressé. Quand on se sent pressé de céder au péché qui nous entoure, on doit regarder à Jésus, (littéralement le Capitaine) l'auteur de notre foi (verset 2). Il est notre exemple. À mesure que l'heure de sa crucifixion approchait, Jésus était environné des forces des ténèbres les plus puissantes qu'un homme ait jamais connues, et pourtant il remporta la victoire.

Êtes-vous blessé? Vous cherchez le soulagement? Restez proche du Capitaine. Faites-lui confiance. Il mettra fin au combat pour que vous ne soyez pas détruit.


Auteur inconnu.

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