samedi 22 janvier 2022

La tyrannie du totalitarisme (Romains 13), 2e partie, par James Coates


Quand vous regardez à cela, vous pouvez penser: ça semble être une autorité totale. Il semble que si je résiste à l'autorité gouvernementale sur n'importe quoi, à tout moment, je m'opposerais à l'ordonnance de Dieu. Il serait donc utile de poser quelques questions. Est-il mal de désobéir aux ordonnances gouvernementales qui sont mauvaises? Est-ce que Dieu demande que nous obéissions au mal? Les femmes doivent-elles obéir aux ordonnances mauvaises de leur mari? Les enfants doivent-ils obéir aux ordonnances mauvaises de leurs parents? La réponse à chacune de ces questions est un non absolu! Dans chaque cas, le devoir est de désobéir, de désobéir à l'autorité. Alors comment pouvons-nous identifier lorsque nous devons nous opposer aux excès du gouvernement? Comment pouvons-nous identifier cela, et quand sommes-nous obligés, qu'il est responsable et même requis de s'opposer aux excès du gouvernement? Laissez-moi vous donner trois principes répondant à la question: quand Dieu requiert-Il que nous nous opposions aux excès du gouvernement? Un: lorsque le gouvernement usurpe l'autorité d'une autre sphère d'autorité ordonnée de Dieu. Par exemple: lorsque le gouvernement cherche à usurper l'autorité des parents sur leurs enfants. L'opposition est obligatoire. Vous avez la responsabilité de vous tenir entre le gouvernement et vos enfants. C'est votre responsabilité en tant que chefs de famille de les protéger. Donc quand il y a un gouvernement qui empiète sur une autre sphère d'autorité, qui usurpe cette autorité, s'y opposer est obligatoire. Deux: lorsque le gouvernement exige de désobéir à Dieu ou restreint l'obéissance envers Lui. Pour cela je veux que vous tourniez en Matthieu 28 pour un instant. Nous allons aller à la grande commission. Et je veux que vous remarquiez la manière de parler que Jésus utilise dans la grande commission. C'est ce qui doit régir toute notre mission. Tout ce que nous faisons. Notons spécialement que lorsque nous sommes ici ensemble en tant qu'église locale, cela fait partie de la grande commission. Ce qui se passe en ce moment est la grande commission. Elle ne se termine pas lorsque quelqu'un vient à Christ. Dans un sens, la grande commission fait juste commencer quand quelqu'un vient à Christ. Une fois qu'elle est venue à Christ, elle doit maintenant être enseignée, et nous verrons cela dans un moment. Matthieu 28:18, Jésus fait cette glorieuse déclaration: Toute autorité m'a été donnée au ciel et sur la terre. Toute l'autorité. Donc Jésus possède toute l'autorité dans le ciel et sur la terre. Cela signifie que même l'autorité déléguée à toutes les autorités terrestres vient de Jésus, Dieu le Fils. Toute l'autorité Lui a été donnée dans le ciel et sur la Terre. Verset 19, Allez donc, et faites des disciples de toutes les nations, les baptisant dans le nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Notez le verset 20: leur apprenant à observer, ou obéir, à tout ce que je vous ai commandé. Tout ce que je vous ai commandé. Pas une partie, pas une portion mais tout. Dans la grande commission, nous avons la responsabilité de ne pas seulement apporter les gens à Christ, mais de leur enseigner, de vous enseigner à obéir à tous ce que Jésus a commandé. Tout. Il n'y a rien d'exempté. Rien n'est laissé de côté de ce à quoi Jésus fait référence ici. Et cela montre clairement, quand il s'agit de l'église locale et l'autorité de l'église sous Christ, une église est sous une distincte juridiction, autonome et souveraine, par laquelle il est primordial, qu'il est requis qu'elle soit dirigée par la parole de Dieu en toutes choses. Toute obéissance au Seigneur Jésus-Christ. Ainsi, non seulement nous nous opposons au gouvernement lorsqu'il usurpe l'autorité d'une autre sphère d'autorité ordonnée par Dieu, nous nous opposons également au gouvernement lorsqu'il exige la désobéissance envers Dieu ou restreint l'obéissance d'une manière quelconque. Il devrait être évident pour tous qu'au cours des deux dernières années le gouvernement a restreint l'obéissance à Christ. Amen? Et troisièmement, lorsque le gouvernement soit demande d'être adoré, ou empêche le culte. Et pour cela, je veux que vous tourniez en Marc 12. Je ne pense pas que nous ayons fait une seule référence à cette portion des Écritures dans toutes nos discussions sur ce sujet mais nous le devons. En Marc 12, les Pharisiens et les Hérodiens viennent à Jésus pour essayer de le prendre en erreur. Et Jésus fait juste tourner autour d'eux. Et il y a un principe important qui en ressort. Marc 12:13-17: "Ils envoyèrent auprès de Jésus quelques-uns des pharisiens et des hérodiens, afin de le surprendre par ses propres paroles. Et ils vinrent lui dire: Maître, nous savons que tu es vrai, et que tu ne t'inquiètes de personne; car tu ne regardes pas à l'apparence des hommes, et tu enseignes la voie de Dieu selon la vérité. (C'était fallacieux). Est-il permis, ou non, de payer le tribut à César? Devons-nous payer, ou ne pas payer? (Et là ils pensent qu'ils ont Jésus. S'il dit oui, ils ont quelque chose qu'ils peuvent amener aux Juifs, s'il dit non, ils peuvent aller à Rome et dire: Jésus enseigne que nous ne payions pas nos impôts. Alors que fait Jésus?) Jésus, connaissant leur hypocrisie, leur répondit: Pourquoi me tentez-vous? Apportez-moi un denier, afin que je le voie. Ils en apportèrent un; et Jésus leur demanda: De qui sont cette effigie et cette inscription? De César, lui répondirent-ils. Alors il leur dit: Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. Alors sur cette pièce, il y avait l'image de qui? César. Cette pièce appartenait à qui? César. Où était l’image de Dieu? Oui, à l'intérieur. L'image de Dieu n'est pas sur une pièce d'argent, l'image de Dieu est en l'homme. L'homme est créé à l'image de Dieu. Qu'est-ce que cela signifie? Quel en est le principe? Que nous devons à Dieu notre adoration. Qu'il a le droit à notre adoration. Il faut que nous l'aimions de toute notre âme, esprit et force. Et alors qu'est-ce qu'ils doivent à Dieu? L'adoration. Donc, quand le gouvernement exige l'adoration, lisez Daniel 3, ou empêche le culte, voyez les deux dernières années, vous avez le devoir de résister et de vous opposer au gouvernement, et de rendre à Dieu ce qui est à Dieu. Amen? C'est l'obligation de l'opposition.

Et finalement, la parodie de la trahison. Regardez Romains 13:3: "Ce n'est pas pour une bonne action, c'est pour une mauvaise, que les magistrats sont à redouter. Veux-tu ne pas craindre l'autorité? Fais-le bien, et tu auras son approbation". Maintenant, qui définit le bien? Est-ce que le bien est subjectif? Est-ce que ce qui est bien fluctue avec les caprices d'une culture en changement constant? À nouveau, la réponse est un non catégorique! Cela vaut la peine de souligner que ce qui construit un bon comportement est les bonnes œuvres. Et contextuellement, le mot "bien" remonte à Romains 12:2. Et je veux que vous commenciez à lire avec moi au verset 1. "Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable. Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l'intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait". Où renouvelons-nous nos esprits? Dans la parole de Dieu. Qu'est-ce qui définit le bien? Dieu le fait, dans Sa parole. Donc, lorsque Paul décrit au verset 3 la fonction des dirigeants et la réalité qu'ils ne sont pas à craindre pour un bon comportement, il décrit comment cela devrait être. Il décrit comment les gouvernements devraient fonctionner. Le gouvernement devrait punir le mal et louer le bien. Raison pour laquelle Isaïe prononce un jugement sur Israël lorsqu'il dit: "Malheur à ceux qui appellent le mal, bien, et le bien, mal, qui substituent les ténèbres à la lumière et la lumière aux ténèbres, qui changent l'amertume en douceur, et la douceur en amertume. Malheur à ceux qui sont sages à leurs propres yeux, et qui se croient intelligents. Qui justifient les coupables pour un présent, et enlèvent aux innocent leurs droits. Car ils ont dédaigné la loi de l'Éternel des armées, et ils ont méprisé la parole du Saint d'Israël". C'était un jugement prononcé sur la classe dirigeante d'Israël qui n'avait pas réussi à s'assurer que la parole de Dieu gouverne cette nation. Donc, lorsque le gouvernement punit le bien, et récompense le mal, il n'a pas seulement abandonné sa raison d'être, il se place sous le jugement de Dieu. En fait, c'est une trahison.

Et cela ressort au verset 4 de Romains 13. "Le magistrat est serviteur de Dieu pour ton bien’. Un "diaconos". Nous avons le mot diacre qui découle de ce mot. Le gouvernement est un ministre de Dieu, un serviteur de Dieu, prévu pour notre bien afin de faire respecter la loi et l'ordre. De faire respecter la justice. De protéger les droits qui nous ont été donnés par Dieu, contre les gouvernements tyranniques. Au lieu de cela, notre gouvernement est hostile à Dieu, et il attaque essentiellement toutes les normes de Sa création, tous les aspects de Son règne souverain sur le monde, mais Dieu rit, donc il n'y a aucune inquiétude de ce côté. Mais chaque aspect de Sa création, de son règne souverain sur la Terre, ils attaquent cela. Ils sont hostiles à Dieu. Et désormais, un bon comportement est une cause de crainte. Et ils approuvent chaleureusement ceux qui s'adonnent au mal. Ça devrait être l'inverse! Le gouvernement est supposé punir le vrai mal, et cela parait dans la seconde partie du verset 4: "Mais si tu fais le mal, crains, car ce n'est pas en vain qu'il porte l'épée, étant serviteur de Dieu pour exercer la vengeance et punir celui qui fait le mal". En passant, dans ce mot "vengeur", vous avez l'indice contextuel sur pourquoi Romains 13 est là où il est. Retournez au chapitre 12 et au verset 19. Le même mot, seulement la forme verbale est différente, il est dit: "ne vous vengez pas vous-même". Alors Paul dit aux chrétiens de ne jamais se venger eux-mêmes, mais il dit: "laissez plutôt agir la colère, car il est écrit À moi la vengeance, à moi la rétribution dit le Seigneur". Donc nous ne devons pas nous venger nous-mêmes, ce n'est pas notre sphère d'autorité. Cette responsabilité a été donnée aux autorités gouvernantes, ils sont ceux qui doivent venger le mal. Ce sont eux qui ont l'épée, leur responsabilité est d'exécuter le jugement. Et nous devons reconnaitre que Dieu a établi le gouvernement pour ce but précis. Maintenant, c'est incroyable. Même quand vous regardez aux gouvernements impies les plus infâmes, dans la plupart des cas, ils continuent toujours de punir le mal réel, nous pouvons également regarder notre pays. Il ne fait aucun doute que nos autorités gouvernantes continuent de punir le mal réel. Le problème est qu'elles semblent être sur une dérive, loin de leurs vrai rôles et responsabilités. Et ils légifèrent de plus en plus pour rendre le mal bien dans la loi.

Donc, quand il s'agit du rôle et de la responsabilité du gouvernement, il est plutôt clair qu'ils doivent punir le mal réel, le mal tel que défini par Dieu, ils sont des serviteurs de Dieu. C'est leur rôle et leur fonction. Et quand vous considérez, par exemple, la réponse du gouvernement au virus, c'est tout, sauf ce rôle. Ils sont clairement en dehors de leurs devoirs fixés par Dieu. Ils piétinent les droits divins, ils détruisent les moyens de subsistance des gens, ils détruisent l'économie, ils donnent de l'argent partout, comme si c'était leur prérogative, ils forcent les gens qui ne le veulent pas à se faire inoculer, ils créent la division et la ségrégation dans la société, ils sèment la peur, ils diabolisent toutes les opinions dissidentes, ils censurent les informations qui contredisent leur pseudoscience, et ils admettent qu'ils mettent en œuvre des mesures qui font du tort à la société. Ils l'ont admis. En réalité, les torts de leurs mesures peuvent, en fin de compte, dépasser de loin les dommages que le virus n’aurait jamais causé par lui-même. Et ils utilisent ce virus pour établir un régime totalitaire sur la société. Maintenant, c'est une merveilleuse opportunité pour l'église! C'est une merveilleuse opportunité pour l'église de Jésus-Christ de se tenir droit et de laisser la lumière briller, de prêcher l'Évangile, de prêcher tout le conseil de Dieu, pour appeler tous les hommes partout à la repentance. Et c'est une merveilleuse opportunité pour nous dans la société de servir notre nation. De servir notre province. De servir notre ville, en dépit du fait qu'ils apprécient ou non. Nous connaissons la vérité. Nous savons ce qui est bien et ce qui est mal. Ainsi, nous fonctionnons en tant qu'église de Jésus-Christ. Nous avons l'opportunité de montrer au monde à quel point la foi pratique en Jésus-Christ est importante. Ce n’est pas comme une tarte dans le ciel, un culte dans les nuages ou ce genre de chose, nous avons une religion pratiquante où nous suivons le Seigneur Jésus-Christ et nous lui obéissons en accord avec la vérité en laissant Sa parole gouverner notre vie. Et ce faisant, nous faisons fonction de sel et de lumière dans ce monde sombre et déchu. Nous avons une opportunité merveilleuse devant nous, si l'église peut juste se réveiller et saisir le moment dans lequel nous vivons.

Quant à notre pays, je ne sais pas où nous allons. Ça prendrait un acte de Dieu pour endiguer la marée. Ou vous savez ce que ça prendrait? Il faudrait des citoyens de tout le pays, se tenant ensemble, que ce soit des conservateurs ou des libéraux, des inoculés et des non-inoculés, et regarder le gouvernement dans les yeux et lui dire poliment: non. Nous n'avons pas besoin de révolution ou de violence. Nous n'avons pas besoin de renverser notre gouvernement. Nous devons juste rester unis en tant que pays et dire: non. Et cela endiguerait la vague entière de cette visée totalitaire du gouvernement pour faire devenir notre pays un pays communiste.

Cela dit, même si nous endiguons la vague en tant que pays, que nation, ça ne ferait pas de différence d'avoir nos libertés civiles mais de rester morts dans nos offenses et nos péchés. Donc la liberté civile pourrait vous permettre d'avoir vos meilleures vies maintenant, mais cela n'accomplira rien en ce qui concerne la vie à venir. Et c'est quelque chose qui va juste augmenter la colère que vous emmagasinez pour vous-même pour le jour du jugement. Vous devez réaliser que, lorsque vous regardez le monde aujourd'hui, et que vous voyez tout le mal dans le monde, la corruption de notre gouvernement et le mal dans la société, une fois que vous avez cela en vue, regardez à l'intérieur. Parce que le mal que vous voyez à l'extérieur est bien vivant à l'intérieur. Vous pouvez sonder votre cœur et savoir que vous avez péché et manquer la gloire de Dieu. Vous savez dans votre cœur que vous avez péché et fait ce qui est mal, que vous avez violé la loi de Dieu, et que vous seriez justement condamné à une éternité en enfer si tout cela était apporté contre vous en jugement. Et avec cela, sous cette conviction, comprenez que Dieu le Père, dans Sa bonté et Sa grâce, a envoyé Son Fils dans le monde pour vivre comme un homme, homme et Dieu dans ce monde pour vivre une vie sans péché, sous la loi de Dieu, aller à la croix, et sur cette croix, souffrir sous la colère de Dieu, pour fournir le pardon des péchés, et il est mort sur cette croix, il est ressuscité de la tombe, et maintenant, si vous vous détournez de vos péchés et vous attachez à Jésus par la foi vos péchés seront pardonnés. Et vous serez délivrés de la colère à venir. Et vous aurez la réelle liberté en Jésus-Christ d'être l'homme ou la femme que Dieu vous appelle à être. Vous connaîtrez votre Créateur, et réaliserez le but pur lequel vous avez été créé. Vous aurez ainsi l'espérance de la vie éternelle. L'espoir éternel. La vie éternelle. Le pardon des péchés, une note parfaite de droiture, pas la vôtre, parce que ce sera la justice du Seigneur qui vous aura écrasé et vous serez dans la communion de Dieu le Père, de Dieu le Fils et de Dieu le Saint-Esprit. Si vous êtes sous cette conviction en ce moment, confessez vos péchés et regardez à Jésus-Christ. Confessez-le comme Seigneur; croyez dans votre cœur que Dieu l'a relevé de la mort; recevez-le maintenant comme votre Seigneur et Sauveur. Soyez réconciliés avec Dieu à travers Lui. Et si vous le faites, il sera à vous, et vous serez à Lui. Et vous aurez la merveilleuse perspective d'entendre en ce jour merveilleux: bien fait, bon et fidèle serviteur.

Nous avons été fidèle jusqu'à présent en tant qu'église locale. Ça n'a pas été facile, et par la grâce de Dieu, Il nous gardera fidèles. Jusqu'au bout. Jusqu'à la gloire de Dieu. Gloire et honneur à Christ. Amen. Prions.

Père nous Te remercions pour Ta parole. Nous Te remercions pour la possibilité de creuser dans sa richesse. Père nous Te remercions pour Ta bonté et Ta grâce envers nous en Christ. Nous Te remercions Père, pour la liberté en Christ. Nous Te remercions pour la façon dont Tu nous as utilisé au cours de l'année écoulée, et Père nous Te prions de nous garder fidèles jusqu'au bout, à l'honneur et à la gloire de Christ. C'est en Son nom que nous prions, Amen.

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