dimanche 16 octobre 2016

Pourquoi il vaut la peine d'être chrétien, par Norbert Lieth, 4e partie

Jésus: Unique, Incomparable, Merveilleux dans Sa personnalité

Sa grandeur
Une édition de l'Encyclopaedia Britannica utilise 20 000 mots pour décrire la personne de Jésus: une description qui occupe plus de place que celles d’Aristote, de Cicéron, d’Alexandre, de Jules César, de Bouddha, de Confucius, de Mahomet ou de Napoléon Bonaparte. (3) 

Voici quelques déclarations faites par des personnalités au sujet de Jésus: 
Rousseau: " La vie de Jésus-Christ fut, à chacun de ses instants, un véritable miracle; il eut été infiniment difficile de l'inventer de toutes pièces."
Napoléon, qui, part des guerres, s'est emparé de la moitié de l'Europe, a écrit dans son journal personnel à la fin de sa vie: "Avec toutes mes armées et mes généraux, je n'ai pas pu mettre à mes pieds un seul continent ne serait-ce qu'un quart de siècle. Mais ce Jésus, sans la puissance des armes, vainc des peuples et des cultures pour des millénaires." (4)

Le fameux historien H.G. Wells, à qui on demandait quelle personnalité avait le plus marqué l'Histoire, répondit que, si l'on  appréciait la grandeur de quelqu'un sur base de points de vue historiques, Jésus viendrait en tête. 

Et l'historien Kenneth Scott Latourette de déclarer: "Plus le temps passe, plus il devient manifeste que, étant donné Son influence sur l'Histoire, Jésus a mené la vie la plus riche de conséquences jamais vécue sur notre planète. Et cette influence paraît encore croître."

Ernest Renan a fait cette remarque: "Dans le domaine religieux, Jésus est le personnage le plus génial qui ait jamais vécu. Son éclat est de nature éternelle, Son règne ne cessera jamais. Il est unique à tous égards; Il n'est comparable à rien ni personne. Sans Christ, l'Histoire ne peut se comprendre." 

La Bible nous enseigne que Jésus-Christ est plus grand que tous. Voici quelques déclarations tirées de l'Épitre aux Hébreux :
" Jésus est au-dessus des anges " (1,1 à 3,19), "Jésus est au-dessus du sacerdoce du grand souverain sacrificateur Aaron (4,1 à 6,20), "Jésus est au-dessus de toutes révélations du salut de l'ancienne Alliance (7,1 à 8,19), "Jésus est au-dessus de tous les sanctuaires et sacrifices (9,1 à 10,18, cf. v.39), Jésus est le commencement et la fin de la foi (11,1 à 13,25).

Sa pureté
Savez-vous quelle prière Jésus n'a jamais adressée à Dieu? C'est le "Notre Père". Bien que l'ayant enseignée aux autres, il n'a pas dû la prononcer pour Lui-même, notamment et surtout cette demande: "...pardonne-nous nos offenses...". Car Il était sans péché, d'une pureté absolue. Jamais Il n'a dû se repentir de quoi que ce soit, confesser une quelconque faute et implorer le pardon divin. Par contre, Il a pris sur Lui notre culpabilité, nos péchés. Écoutons-le prier sur la croix: "Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu'ils font." Oui, Il était saint et juste: "La femme de Pilate fit cette recommandation à son mari: "Qu'il n'y ait rien entre toi et ce juste."; Pilate lui-même dut reconnaître: "Je ne trouve aucun crime en lui."; l'un des malfaiteurs crucifiés s'écria: "Celui-ci n'a rien fait de mal."; le centenier, au pied de la croix, déclara: "Certainement, cet homme était juste."; même les démons durent avouer: "Tu es le Saint de Dieu.". 

En résumé, Jésus-Christ était sans péché contrairement à tous les autres êtres humains et aux fondateurs de la religions, qui aient jamais vécu.
H. Bender a écrit au sujet de Jésus: "Au milieu de l'histoire de l'humanité s'Est levé quelqu'un qui y a été placé et remplissant toutes les conditions requises, mais la dépassant en toutes choses: Jésus-Christ. Il est le Différent, l'Unique. Il est le Seul qui pouvait se permettre de se tenir devant une foule hostile et poser la question: 'Qui de vous me convaincra de péché?'. Le silence était la seule réponse, mais un silence qui en disait long. Sa volonté était en parfaite harmonie avec celle de Dieu. Son attitude était selon Dieu et centrée sur Dieu. En lui, aucune déchirure, aucune imperfection."
Il est écrit en Romains 8,3: "Dieu a accompli ce que la loi de Moïse ne pouvait pas faire, parce que la faiblesse humaine la rendait impuissante: il a condamné le péché dans la nature humaine en envoyant son propre Fils, qui est venu avec une nature semblable à la nature pécheresse de l'homme pour enlever le péché"(cf, 1 Pierre 2,22 et Hébreux 4,15).

Sa divinité
Pasteur, le très renommé docteur et biologiste français, s'est exprimé en ces termes: "Au nom de la science, je proclame Jésus-Christ Fils de Dieu. Mon intelligence scientifique, qui attribue une grande valeur à la relation cause à effet, m'oblige tout simplement à le reconnaître. Mon besoin d'adorer trouve en Lui sa pleine satisfaction." (1)
Que Jésus-Christ soit le Fils de Dieu, cela ressort d'innombrables passages de l'Ancien et du Nouveau Testament. La Bible Le présente comme parfaitement homme (mais sans péchés) et parfaitement Dieu (voir, par exemple: Esaïe 9,5-6, Jean 1,1-2; 3,6; 8,58; Colossiens 1,15-19; 1 Timothée 3,16; Hébreux 13,8; 1 Jean 5,20, etc...). Dans l'Épitre aux Philippiens, il est écrit au sujet de Jésus: "Lequel(Jésus) existant en forme de Dieu, n'a point regardé comme une proie à arracher d'être égal avec Dieu, mais s'est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes; et ayant paru comme un simple homme..."(Philippiens 2,6-7, français courant). Autrement dit: Il n'a pas retenu Sa forme de Dieu comme un butin à conserver; au contraire,Il s'est humilié pour nous. Et quelque part ailleurs, Jésus a affirmé: "Moi et le Père, nous sommes uns" (Jean 10.30)
Il est écrit en Colossiens 1,19-20: "Car Dieu a décidé d'être pleinement présent en son Fils. De même, il a décidé de réconcilier l'univers entier avec lui par le Fils. Dieu a établi la paix par la mort de son Fils sur la croix et ainsi il a réconcilié toutes choses avec lui, soit sur la terre, soit dans les cieux". Et cette remarque qui accompagne: "... Il est le Seul en qui Dieu a pu réellement habiter (donc non pas un parmi plusieurs fondateurs de religions!). Jésus est Celui qui a racheté l'univers entier et le conduira au but. Nous ne pouvons que citer, an adorant, cette parole d'Esaïe 46,5: "À qui me comparerez-vous, pour le faire mon égal? À qui me ferez-vous ressembler; pour que nous soyons semblables?"

Cher lecteur, chère lectrice, si vous acceptez le témoignage que la Bible donne de Jésus, si vous reconnaissez le caractère unique de cette Personne, ne trouvez-vous pas que la chose la plus raisonnable que vous puissiez faire est de vous décider pour Jésus quant à votre vie? S'Il est tout ce qu'Il a affirmé être, il y a là alors suffisamment de raisons pour que vous deveniez un chrétien inconditionnel! Franchissez-donc ce pas, pour autant que vous ne l'ayez pas encore fait: tout à fait consciemment, remettez-Lui toute votre vie et marchez à Sa suite! Si Jésus est ce qu'Il dit être, ce que la Bible déclare à Son sujet et ce que des gens rapportent avoir vécu avec Lui, tous les individus ont dès lors besoin du pardon de leurs péchés qu'Il a rendu possible et de l'entrée dans le royaume de Dieu. Avec Lui, nous gagnons toutes choses; sans Lui, nous faisons la pertes de toutes, et cela pour l'éternité.
Hamlet, dans la pièce de Shakespeare du même nom, déclare: "Je suis perdant, que je vive ou que je meure." Par contre, l'apôtre Paul savait avec une certitude absolue: "Je suis vainqueur, que je vive ou que je meure." Oui, devenez un chrétien convaincu, car, sans Jésus, vous perdez tout!

Friedrich Nietzsche a été appelé le grand philosophe de l'impiété. À l'âge de seize ans, il a écrit à un ami au sujet de la personne de Jésus: "Je sais que si je ne le trouve pas, je ne trouverai aucune réponse à ma vie."(5)
Et à la fin de son existence tout au long de laquelle il avait rejeté Jésus, il écrivit: "Malheur à celui qui n'a pas de patrie!"(5)
Le dramaturge suisse Friedrich Dürrenmatt confesse dans son ouvrage "Les physiciens": "Quand je ne Le craignais plus, ma sagesse détruisait ma richesse."(6) Par contre, celui qui a Jésus est riche: "En toutes choses vous avez été enrichis en lui. (1 Corinthiens 1,5; Darby)

Par Norbert Lieth, publié aux Éditions Appel de Minuit  

(1)H. Bruns (Arrête-toi un instant)
(3)J. McDowell (Lévidence qui réclame un verdict)  
(4)P. Fischer (Top secret)
(5)H. Blatt (Journal de la mission de Marburg)
(6)J. Langhammer (Que va devenir ce monde?)

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