samedi 9 juin 2012

Jésus eut pitié de moi


                                                             
La marche victorieuse du chrétien vers la cité Céleste n’est pas de tout repos. Elle est parsemée de combat contre les forces de l’ennemi, les épreuves sont parfois nombreuses, mais toujours, notre puissant Sauveur et Rédempteur Jésus-Christ nous en délivre, puisque, en toutes circonstances, nous prières de reconnaissances et de supplications s’élèvent vers Lui, afin d’obtenir le secours et la force dont nous avons besoin pour continuer d’avancer de progrès en progrès. Gloire à Dieu! Oui, il nous délivre toujours, parce que, dans le bonheur comme dans le malheur, nous n’oublions jamais que sans Jésus, nous ne pouvons rien faire!

Remercions-le, avec une reconnaissance sincère, de nous avoir sorti des griffes de l’ennemi, car, merci Seigneur, nous ne sommes plus sous l’emprise du péché et de la défaite ! Ô mort, où est ta victoire? Grâces soient rendues à Dieu, qui nous a donné la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ!

Je marchais à l’ombre de la mort. Tu m’as vu, tu as eu pitié de moi. Tu m’as regardé(e) avec des yeux remplis de compassion. Moi, j’étais comme une antilope atteinte d’une maladie grave, je ne pouvais plus marcher et je voyais les fauves qui s’avançaient sur moi à une vitesse folle, mais avant que leurs crocs ne se referment sur ma chair, tu m’as retiré de leurs pouvoirs. Et maintenant, ils me regardent, essayant encore de m’attraper. Merci Seigneur Jésus-Christ, car ils ne peuvent pas m’atteindre; tu me gardes hors de danger et aussi, Seigneur Jésus, je me souviens lorsque j’étais enfoncé(e) dans l’abîme. Il ne me restait que la main sortie de l’eau. J’ai crié : « Au secours! », et bien que j’étais recouvert(e) d’eau, tu as entendu ce cri, si faible fût-il. Merci Jésus. Des requins qui s’avançaient de toutes parts n’ont pu que me regarder être retiré(e) de l’eau par la main puissante du Seigneur Jésus-Christ. Merci Jésus de m’avoir retiré encore du danger. J’avançais en tâtonnant comme un aveugle, bien que je recherchais le sentier du retour; je ne pouvais plus le voir. J’entendais le bruit de la tornade qui s’approchait, et aussi j’avais peur. J’étais sans défense, à l’affût des caprices du vent. J’ai crié, et c’est alors que tu as apaisé la tempête. Tu m’as en effet arraché à la mort, tu m’as évité de faire le pas fatal, afin que j’avance sous ton regard dans la lumière de la vie. Seigneur Jésus-Christ, mon protecteur, je veux te célébrer, je veux te louer, car tu es ma forteresse, Ô Dieu, mon Dieu, toi qui es si bon! Amen!

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